Illustration d'une personne inquiète parce qu'elle n'a plus de données sur Google Analytics.

Pourquoi vos données Google Analytics vont bientôt disparaître ? L’Archivage UA expliqué

Google Analytics, l’outil clé dont dépendent des millions de sites partout dans le monde, est sur le point de vivre des changements significatifs. Vos données de référencement historiques pourraient bientôt disparaître. Bien que ce soit un sujet complexe, vous devez comprendre les enjeux pour adapter votre stratégie. Évidemment, vous vous demandez probablement « Pourquoi les données de mon Google Analytics vont-elles disparaître ? ». Ne vous inquiétez pas, nous sommes ici pour éclaircir le mystère.

Qu’est-ce que Google Analytics ?

Google Analytics est un outil précieux pour vous, professionnels comme particuliers cherchant à analyser le trafic sur vos sites internet. Il offre une gamme complète de données et métriques qui peuvent vous aider à comprendre comment les utilisateurs interagissent avec votre contenu, notamment en vous fournissant des informations sur le nombre de visiteurs de votre site, la durée de leur visite, les pages qu’ils consultent le plus et comment ils arrivent sur votre site.

Définition de l’outil

Google Analytics est un service gratuit offert par Google qui vous permet de suivre, analyser et rapporter les données de trafic web. Il utilise des codes de suivi intégrés à votre page web pour collecter des informations détaillées sur les habitudes de navigation des visiteurs. Vous pouvez ensuite utiliser ces données pour améliorer votre site, identifier des opportunités et fournir une meilleure expérience utilisateur.

Illustration de deux personnes qui analyses leurs données pour récuperer leur archivage universal analytics.

Un des aspects uniques de Google Analytics est sa capacité à générer des rapports personnalisés basés sur une variété de métriques, y compris le trafic web, les sources de trafic, le comportement de l’utilisateur, et bien plus encore. Sa flexibilité et sa polyvalence en font un choix populaire parmi les professionnels de l’investissement marketing et SEO. Vous pouvez visualiser les rapports sous forme de tableaux ou de graphiques, ce qui rend l’analyse plus accessible et compréhensible.
Les données liées aux cookies expirent automatiquement après cette période si le site n’enregistre aucune nouvelle interaction de l’utilisateur.

De plus, Google Analytics intègre des icônes et des codes spécifiques qui facilitent la navigation et la compréhension des différentes sections du tableau de bord. Vous pouvez également suivre les données sociales et les interactions sur les réseaux sociaux, offrant une vue complète des performances de votre page web à travers différents canaux.

Approfondissement sur UA et GA4 : c’est quoi ?

Google a mis à jour son système et a introduit Google Analytics 4 (GA4), la dernière version de cet outil. GA4 est conçu pour fournir des insights plus profonds sur le parcours des utilisateurs et améliorer le retour sur investissement marketing grâce à l’apprentissage automatique.

GA4 offre plusieurs nouvelles fonctionnalités par rapport à Universal Analytics (UA), y compris une meilleure intégration avec les autres plateformes Google, la possibilité de suivre les utilisateurs entre les appareils et les plateformes, ainsi qu’une analyse plus approfondie du parcours d’achat des clients. De plus, GA4 permet la création de rapports personnalisés grâce à des tableaux de bord interactifs et des codes de suivi améliorés, ce qui facilite le suivi des pages et l’engagement social. Bien que cela puisse sembler un peu intimidant pour certains, la transition vers GA4 est essentielle pour tirer le meilleur parti de cet outil puissant.

Comprendre le passage de Universal Analytics à GA4

L’archivage d’Universal Analytics (UA) à Google Analytics 4 (GA4) représente une transition des plus importantes dans l’univers du web analytics. Cette évolution, qui a commencé à se mettre en place le 14 octobre 2020, ne se fait pas sans raison, et modifie certaines fonctionnalités essentielles pour les utilisateurs. Comprendre cette transition est une étape clé pour parvenir à maîtriser tous les outils et avantages que cette nouvelle version offre aux entreprises.

Explication de l’évolution de Google Analytics vers GA4

Illustration de deux personnes qui étudient les comportements utilisateurs sur analytics.

Google a initié cette évolution vers GA4 pour plusieurs raisons. Tout d’abord, le parcours client ayant considérablement évolué ces dernières années, Google a ressenti le besoin d’adapter ses outils d’analyse pour permettre une lecture plus fine des comportements utilisateurs. Ensuite, GA4 fait office de réponse à ces nouveaux besoins, intégrant par exemple une analyse des données plus axée sur l’utilisateur final et moins sur les sessions.

Raisons derrière cette transition

Plus encore, cette évolution vers GA4 s’inscrit dans une stratégie de modernisation des outils Analytics de Google. GA4 offre une interface utilisateur plus intuitive et propose des rapports plus diversifiés et personnalisables.

En outre, cette nouvelle version prend en compte l’approche multi-appareils des utilisateurs et propose de nouvelles fonctionnalités à l’instar du tracking des événements sans intervention de code. En d’autres termes, cette mesure proactive introduit des fonctionnalités conçues pour s’adapter à la complexification et à l’évolution rapide des comportements des utilisateurs en ligne.

Différences entre Universal Analytics et GA4

Universal Analytics et GA4 présentent des différences notables. Par exemple, alors que l’Universal Analytics se concentre sur les sessions et les hits, GA4 se centre davantage sur les événements et les paramètres. De plus, GA4 bénéficie d’une gestion des données plus flexible, permettant une meilleure personnalisation des rapports que UA.

Autres distinctions, GA4 intègre nativement des modèles d’attribution basés sur l’IA avec du machine learning, là où Universal Analytics nécessitait une intervention manuelle pour leur mise en place. Par ailleurs, GA4 favorise la prise en compte de la vie privée des utilisateurs, en ligne avec les nouvelles réglementations en vigueur en matière de protection des données personnelles.

Il convient de noter que toutefois, l’archivage de Universal Analytics à GA4 ne signifie pas une disparition instantanée des données de UA. Il est en effet possible de conserver et d’archiver ses données UA grâce à Google Sheets ou encore via la v4 de l’API Google Analytics Reporting. Des solutions pour maintenir ces données intactes existent, mais leur mise en œuvre nécessite des connaissances et une expertise certaine. Lemon interactive peut vous aider à conserver votre historique UA !

Fin de UA et archivage des données

Faîtes attention car vos données sont vouées à disparaître avec la fin d’Universal Analytics le 1er juillet 2024.

Qui est concerné par la fin d’Universal Analytics ?

Illustration de deux personnes qui sont concernées par la fin de leur archivage d'Universal Analytics.

Prenons un moment pour appréhender ce changement majeur : l’ère d’Universal Analytics (UA) touchant à sa fin. « UA », acronyme réputé dans le monde du web marketing, évoque un outil de mesure des performances de sites internet, exploité par Google. Alors qui est touché par cette grande finale ? La réponse simple serait « tous les utilisateurs d’Universal Analytics ». En effet, ce sont avant tout les propriétaires de sites internet, les webmasters et les spécialistes du marketing digital qui sont les plus affectés par cette transition.

Mais ce changement a également des répercussions pour les professionnels du SEO et les développeurs web. Leur travail d’optimisation des sites pour les moteurs de recherche doit s’adapter à cette nouvelle réalité. Ils doivent désormais axer leurs efforts sur la maîtrise des implications de ce changement, notamment en termes d’analyse des données et de stratégies de référencement.

Qu’est-ce que l’archivage des données Universal Analytics ?

Maintenant que nous connaissons les personnes touchées par la fin de UA, abordons un autre aspect tout aussi crucial : l’archivage des données Universal Analytics. Des années de performances de sites web, de comportements des visiteurs et de tendances de consommation ont été soigneusement mesurées et collectées sous UA. En un mot, c’est une mine d’or d’informations précieuses. Que vont donc devenir toutes ces données ?

Ici entre en scène le concept d’archivage des données. L’archivage fait référence à la conservation systématique de données essentielles pour une utilisation ultérieure. Par conséquent, l’archivage des données UA signifie que même si le service UA n’est plus opérationnel, toutes les données précieuses qu’il a collectées ne seront pas perdues. Elles sont stockées de manière sécurisée pour être consultées chaque fois que cela est nécessaire, offrant ainsi une perspective historique des performances et tendances antérieures des sites web. Une fois archivées, vous pouvez mettre ces données en forme grâce à Locker Studio.

En somme, l’archivage de données Universal Analytics assure une transition sans accroc, permettant aux professionnels du web de continuer à bénéficier des ressources précieuses que UA a mises à leur disposition dans le passé. Toute l’équipe est prête à vous aider pour vos analytics dès aujourd’hui.

Mieux comprendre l’archivage de Google Analytics

Pourquoi ne plus utiliser Google Analytics ?


Il est conseillé de ne plus utiliser Google Analytics en France car la CNIL l’a jugé non-conforme au RGPD le 10 février 2022. D’autres outils, comme Matomo ou Piwik, sont disponibles pour être conforme à cette réglementation.

Quelle est la différence entre Google Analytics Universal et Google Analytics 4 ?


La différence principale entre Google Analytics Universal (UA) et Google Analytics 4 (GA4) est la façon de traiter les données. UA utilise des propriétés séparées pour les données mobiles et de sites Web, alors que GA4 offre une vue unifiée des données sur les plateformes, permettant de meilleures analyses entre les sites et les applications.

Quelles données peuvent être collectées par défaut par Google Analytics ?


Par défaut, Google Analytics collecte plusieurs types de données, telles que le nombre d’utilisateurs et de sessions, la géolocalisation (pays et ville), le type de navigateur, le système d’exploitation, la résolution d’écran, ainsi que des informations sur les appareils (mobiles, tablettes, ordinateurs)…

Comment exporter les données Google Analytics ?

Pour exporter des données depuis Google Analytics, accédez à votre rapport, ajustez la période et les paramètres selon vos besoins. Ensuite, cliquez sur ‘Exporter’ situé en haut du rapport. Choisissez le format d’export (par exemple, CSV, Excel) et les données seront téléchargées sur votre appareil.

Illustration de deux personnes autour d'une ampoule en train de lire les astuces pour un bon carrousel LinkedIn.

Comment faire un bon carrousel LinkedIn : 9 astuces pour captiver

LinkedIn est un réseau social destiné aux professionnels qui permet de mettre très facilement en avant une marque, des compétences, un projet ou une entreprise. Pour une communication optimisée sur ce réseau, plusieurs formats visuels sont disponibles, mais celui qui se démarque le plus est clairement le carrousel. Alors, pour utiliser le plein potentiel de ce format inédit, découvrez nos 9 conseils pour créer un carrousel LinkedIn captivant.

LinkedIn : la puissance des carrousels pour la popularité d’une marque

LinkedIn est sans conteste le réseau social professionnel par excellence. Il propose des formats de publication très variés, et se démarque des autres réseaux sociaux par son carrousel. Sur Facebook, ce format n’est disponible qu’en SMA (publicité payante), sur Instagram, il permet de simplement publier plusieurs photos, tandis que Twitter ne propose même pas ce format. LinkedIn se démarque alors avec un format de carrousel très spécifique à la plateforme, où il est possible de télécharger un fichier PDF qui sera ensuite transformé en carrousel. Il se consulte alors, tout simplement, en slidant sur le côté.

Ce format fonctionne très bien pour optimiser un LinkedIn, et même mieux que n’importe quel autre format. En effet, il obtient 2,2 à 3,4 fois plus de reach que le reste, et il est numéro un face au sondage, au texte photo, ou encore le format vidéo.

C’est d’ailleurs un format très intéressant pour le SMO et la visibilité du compte LinkedIn, puisque chaque visualisation d’un slide de carrousel compte comme un clic.

Mais, pour profiter pleinement des atouts de ce format de publication et s’assurer une bonne visibilité, encore faut-il savoir créer un bon carrousel.

9 astuces pour créer un carrousel LinkedIn qui marche

Pour qu’un carrousel fonctionne sur LinkedIn, il ne suffit pas de publier plusieurs slides à la suite, sans logique ni bon sens. Voyons 9 conseils pour créer un carrousel percutant.

Définir un objectif clair au carrousel

Illustration d'une personne qui cible son objectif pour son carrousel sur un écran d'ordinateur.

Pour créer un carrousel percutant et captivant, il faut avant tout savoir précisément où vous allez, et quels sont vos objectifs. Vous devez donc définir, en amont, le sujet de votre publication, mais aussi le public auquel vous allez vous adresser. Cela déterminera également le ton que vous allez employer, en gardant, bien sûr, les directives de votre ligne éditoriale.

Avec un carrousel, vous savez d’ores et déjà que le contenu sera composé de plusieurs slides, mais sur LinkedIn, il n’y a pas de limite au nombre de slides créés depuis un PDF. Il vous faut donc savoir précisément ce que vous recherchez, pour vous imposer un cadre. L’objectif du carrousel peut alors être très variable : apporter des conseils, raconter une histoire, démontrer des compétences, parler de l’entreprise sur LinkedIn

En choisissant un thème cohérent avec la tendance, le public et vos attentes, vous aurez alors un cadre de départ à la création de votre carrousel sur LinkedIn, que ce soit avec LinkedIn Ads, ou dans une stratégie de SMO classique.

Structurer votre carrousel avec logique et précision

Le carrousel est un outil très puissant, qui permet d’aborder un sujet de manière structurée et progressive. Il est donc essentiel de bâtir votre carrousel avec rigueur et logique, pour utiliser pleinement tout son potentiel. La difficulté du carrousel est de parvenir à conserver l’attention de l’utilisateur jusqu’à la fin des slides. L’idée est donc de penser la structure du contenu de telle sorte à donner l’envie d’en savoir plus et d’aller jusqu’au bout. Il ne s’agit pas de poster les slides les uns derrière les autres sans cohérence, mais de proposer des contenus qui s’enchaînent et se complètent, à la manière du storytelling, qui donne toujours envie d’en savoir davantage.

Vous pouvez alors commencer par une introduction attrayante (texte ou image), puis développer l’histoire, diapo par diapo, en restant percutant et progressif.

Le carrousel est un format très cohérent en storytelling, pour raconter une histoire, mais il est aussi percutant pour fournir des données (statistiques, chiffres…), ou pour donner du contenu à valeur ajoutée (partage d’expertise, informations clé, conseils, astuces…). La majeure partie des carrousels LinkedIn proposent des astuces ou des conseils, et ce format marche vraiment très bien.

Planifier la structure de votre carrousel

Illustration d'une femme qui structure les données pour un carrousel LinkedIn sur un écran.

Une fois que vous avez défini les informations à transmettre et le public cible, il faut désormais structurer vos données, et définir comment les mettre en avant, et dans quelle progression.

L’objectif est de décomposer votre contenu à publier en ligne, et de le fragmenter en plusieurs diapositives, pour que chacune soit utile, mais aussi qu’elle nourrisse les autres diapos et apporte quelque chose à l’audience. Pensez également à intégrer un titre ou un message sur le premier slide qui saura attirer l’attention des utilisateurs et leur donner envie de slider.

Travailler le design de vos slides

Le carrousel, comme la plupart des contenus sur tous les autres les réseaux sociaux, doit être attrayant. C’est encore plus vrai pour ce format, qui doit inciter les utilisateurs à slider jusqu’au bout.

Vous devez donc travailler votre carrousel et son design, que ce soit par des graphiques, des icônes… Il ne faut jamais oublier l’objectif principal : inciter les internautes à découvrir les autres pages du carrousel. Il faut donc séduire avec un design attirant et harmonieux, tout en restant cohérent avec l’image de marque et avec l’identité de l’entreprise.

De nombreux outils permettent de créer de jolis designs. On pense particulièrement à Canva, qui est utilisé pour créer des slides de carrousel, mais aussi n’importe quel document visuel (PowerPoint, publication Pinterest ou Instagram…).

Proposer un texte concis et percutant

Les carrousels sur LinkedIn comportent forcément du texte, car il est difficile d’apporter de la valeur ajoutée avec de simples images. Vous devez alors accorder une attention particulière à vos textes, afin qu’ils apportent les informations clé en peu de mots. Les textes de vos carrousels doivent donc être concis, clairs, pertinents et percutants.

En effet, si le texte est indispensable, il faut paradoxalement le limiter au maximum. Qui n’a jamais commencé à lire un slide d’un carrousel avec un texte long comme un bras, et qui a abandonné au bout du second slide, même si l’information était intéressante ? Les grands textes ne sont pas du tout l’objectif du carrousel. Il doit plutôt aller à l’essentiel, et proposer un contenu facile et rapide à consommer.

Travaillez donc le texte de votre carrousel afin qu’il soit le plus court possible, mais aussi le plus percutant. Et si vous avez des choses à dire, il est peut-être plus judicieux de les placer dans la légende du carrousel.

Ne pas oublier ou sous-estimer la légende du carrousel

Certes, l’utilisateur de LinkedIn va voir, avant tout, les slides de vos publications en format carrousel. Mais en scrollant un tout petit peu, il va aussi voir la légende de votre contenu. Et s’il n’a pas accroché sur votre carrousel au premier regard, la légende peut l’inciter à aller au bout. Il est donc important de ne pas laisser de côté la rédaction de ce petit contenu, et d’en profiter pour donner envie à l’utilisateur d’aller au bout du carrousel.

La légende du carrousel peut aussi être l’occasion de compléter certaines informations données dans les slides, ou d’ouvrir la discussion avec les utilisateurs.

Inciter à l’interaction et au passage à l’action

Illustration d'une publication qui a un CTA avec un lien.

Comme tout contenu sur les réseaux sociaux, vous ne devez pas oublier d’inciter votre public à interagir et passer à l’action. Que ce soit avec les commentaires, les partages ou les réactions, les interactions augmentent la visibilité de votre post, et donc de votre marque. Le CTA (call to action) peut également guider les utilisateurs vers votre site web ou votre blog, et ainsi augmenter son trafic et améliorer son référencement naturel, ou encore pousser à l’achat et augmenter votre taux de conversion.

Les appels à l’action peuvent prendre différentes formes :

  • Poser des questions ;
  • Demander l’avis de l’utilisateur ;
  • Créer un petit jeu ou une énigme, et demander au public d’écrire la réponse en commentaire ;
  • Faire un sondage avec des réactions (cliquer sur un émoji particulier en fonction de sa réponse)…

Qui dit « interaction », dit « échange ». Aussi, le passage à l’action ne doit pas être à sens unique. Comme sur tous les médias sociaux, il est important que vous réagissiez, vous aussi, aux réactions de votre audience. Répondez aux commentaires, likez les réactions, et prenez même le temps d’aller voir certains comptes et profils de votre public, afin de créer un engagement et une certaine proximité essentiels à la notoriété de votre marque.

Faire attention à la taille du carrousel

Un carrousel est avant tout un contenu visuel. Il faut donc faire attention à ce que le format soit parfait, ni trop grand, ni trop petit, notamment sur mobile. Il faut bien garder en tête que la majorité des utilisateurs utilisent LinkedIn sur leur smartphone, et penser alors le format de votre publication en fonction de ce paramètre.

De manière générale, les carrousels sont souvent présentés en format carré, mais on voit de plus en plus de contenus en format vertical. C’est une initiative plutôt intelligente, puisque la publication s’affiche alors sur la totalité de l’écran de l’utilisateur, ce qui l’empêche d’être attiré par le post du dessous et permet d’avoir toute son attention.

En revanche, il faut quand même que le format, carré ou vertical, soit cohérent et harmonieux avec le contenu que vous proposez. L’ensemble doit rester attirant, et il faut donc exploiter la totalité de l’espace du slide avec esthétique.

Bien sûr, portez également une attention toute particulière à la qualité des images que vous allez intégrer dans votre contenu, afin que la visualisation reste agréable. Évitez, enfin, de surcharger vos slides avec trop d’informations visuelles, afin que l’utilisateur puisse comprendre le sens et l’intérêt de la diapositive en un coup d’œil.

Tester et analyser les posts, et faire de la veille concurrentielle

Comme pour n’importe quelle stratégie de communication marketing en ligne, il ne faut surtout pas hésiter à tester et analyser chacun de vos posts, afin de voir ce qui fonctionne ou pas. Vous pourrez alors ajuster vos contenus pour cibler au mieux votre public et obtenir le plus de reach possible.

Pensez alors à surveiller régulièrement les statistiques (nombres de vues, commentaires…), mais prenez également le temps d’effectuer une veille concurrentielle. En observant ce que font les autres sur leur profil, vous obtiendrez de précieuses informations, et vous serez également toujours au courant des dernières tendances.

En webmarketing, le carrousel LinkedIn fait partie des incontournables d’une stratégie SMO. Vous connaissez alors tous nos conseils pour utiliser ce format avec efficacité et créer des carrousels percutants. Mais vous pouvez aussi confier votre stratégie SMO aux équipes de Lemon Interactive, et ainsi profiter de contenus variés et riches, qui auront un impact direct sur l’activité de votre entreprise.

Toutes les réponses pour faire un carrousel LinkedIn réussi

Comment faire un carrousel sur LinkedIn ?

Pour créer un carrousel sur LinkedIn, commencez par cliquer sur le bouton « Commencer un post ». Ensuite, sélectionnez l’icône « Document » pour télécharger un fichier PDF. Votre PDF fera défiler les pages, formant ainsi un carrousel. Donnez-lui un titre accrocheur et une description pour optimiser la visibilité auprès de votre réseau.

Quel type de fichier pour un carrousel LinkedIn ?


Pour un carrousel LinkedIn, les types de fichiers recommandés sont les PDF, car ils permettent de présenter plusieurs pages dans une seule publication. Les JPG et PNG sont également utilisables mais pour des images uniques. LinkedIn n’accepte pas les GIF animés pour les carrousels. Optez pour des PDF de qualité pour un partage optimal.

Comment faire un beau carrousel sur LinkedIn ?


Pour créer un beau carrousel sur LinkedIn, utilisez des images de haute qualité avec un design cohérent. Assurez-vous que chaque diapositive communique clairement votre message, utilisez des titres captivants et incorporez votre branding. Pour publier, cliquez sur l’icône de document lors de la création d’un post, téléchargez votre PDF et partagez-le avec votre réseau.

Illustration de trois personnes cherchant un cluster thématique SEO sur un site web avec une loupe.

Cluster thématique SEO : définition et méthodes d’optimisation

En matière de stratégie SEO d’un site web, les plus avertis pensent évidemment à l’élaboration d’un cocon sémantique ou d’un siloing. Mais il existe également une autre technique de structuration de contenus optimisés SEO : le cluster thématique SEO. Lemon Interactive vous invite à découvrir cette pratique SEO qui consiste à créer des pages piliers autour de mots-clés très ciblés.

Qu’est-ce que la clusterisation, ou clustering ?

Illustration de personnes en réunion pour réaliser un clustering de mots-clés SEO.

La clusterisation de mots-clés ou topic cluster en anglais, est une pratique SEO qui consiste à créer des groupements de keywords pertinents et connectés les uns avec les autres. Ces clusters de mots permettent, au final, de déterminer la sémantique à utiliser sur un site Internet, et les pages web à créer à partir de l’intention de recherche de l’utilisateur.

L’objectif du cluster thématique répond à l’évidence qu’il ne suffit pas d’associer une page web à un seul mot. En réalité, on définit un mot-clé central, appelé aussi pilier, autour duquel vous devez travailler toute une sémantique, tout un corpus de mots qui ne vont pas forcément être tout à fait similaires au mot-clé central, mais qui vont faire partie du sens global de la page et de son intention.

Un peu comme avec la loi de Pareto, vous allez donc avoir un mot-clé qui va représenter beaucoup de volume (généralement, le mot central), mais tout autour, il y aura aussi toute une galaxie de mots à plus petits volumes, mais essentiels à la composition de l’intention de recherche de la page.

Il est important de déterminer tout cela avant de produire du contenu, pour pouvoir cibler dès le départ les mots-clés, et ne pas rédiger au hasard et risquer du content spinning.

Quel est l’intérêt d’un cluster thématique SEO ?

Créer un cluster SEO est avant tout envisagé pour améliorer le positionnement d’un site web sur les pages de résultats des moteurs de recherches. En ciblant des mots piliers, autour desquels gravitent des pages axées sur des groupes de mots pertinents, vous augmentez considérablement vos chances de voir votre site Internet grimper dans la SERP, de dépasser votre concurrence, et d’augmenter votre taux de conversion, grâce à une bonne stratégie de référencement naturel.

Comment rechercher les mots-clés de vos clusters thématiques ?

Une fois que vous avez pris conscience de l’importance de cibler votre stratégie SEO sur des groupes de mots pertinents, il ne reste plus qu’à les trouver, ces keywords. Cela nécessite un travail fastidieux mais essentiel, que certains logiciels gratuits ou payants peuvent faciliter.

Les outils de recherche de mots-clés payants

Illustration avec les deux logos des outils de recherche de mots-clés pour cluster thématique SEO : Semrush et Ahrefs.

Chez Lemon Interactive, en tant qu’experts SEO, nous profitons de logiciels dédiés à la recherche de mots-clés. Nous utilisons, comme beaucoup, Semrush, mais également Ahrefs. Ces deux logiciels permettent de faire une recherche assez complète de mots, à travers différentes fonctionnalités :

  • Regarder le content gap, c’est-à-dire la différence de mots positionnés entre des concurrents choisis et vous. Il est intéressant de faire cette analyse par rapport à des concurrents immédiats dans les classements de recherches d’un éditeur de site donné ;

  • Faire de la recherche par mot-clé, en fonction de ce que vous pensez intuitivement, puis regarder ensuite l’écosystème de ce mot. Par exemple, si vous pensez à des chaussures de football Nike, vous pouvez chercher « chaussures de football Nike » et regarder tous les termes qui peuvent y être associés, en requête large ou en requête exacte ;

  • Analyser les mots-clés positionnés d’ores et déjà dans les résultats de recherches pour le site donné…

Avec ces logiciels, vous pourrez faire des analyses très poussées, avec des performances et des fonctionnalités que vous ne retrouverez pas sur les logiciels gratuits.

Les outils de recherche de mots-clés gratuits

Pour les utilisateurs non-experts, ou qui n’ont pas forcément envie d’investir dans des logiciels payants, il existe d’autres outils gratuits pour trouver des mots-clés.

  • Le planificateur de mots de Google Ads. S’il n’est pas aussi précis que Semrush, Ahrefs ou Moz, et a forcément un impact business de la part de Google, il permet d’avoir des idées de mots gratuitement ;

  • La barre d’autocomplétion de Google. En accédant à Google et en tapant un terme, vous pouvez voir quels termes lui sont associés.

Pour garder notre exemple, si vous tapez « chaussures de football » dans la barre de recherche de Google, vous pouvez retrouver des résultats tels que « chaussures de football Nike », « chaussures de football Decathlon », « chaussures de football pas chères », « chaussures de football homme »… On peut même aller plus loin en tapant l’une de ces requêtes, pour avoir encore plus de mots-clés de longue traîne, du type « chaussures de football homme promo »…

Petit à petit, en faisant des recherches plus ou moins approfondies, vous pourrez alors établir une liste de mots-clés pertinents.

Comment traiter les mots-clés collectés ?

Si vous travaillez correctement votre recherche, vous pouvez très vite vous retrouver avec des milliers de mots-clés, surtout si vous utilisez un logiciel payant. Il va donc falloir les analyser et les qualifier, afin de déterminer leur intérêt pour votre business.

Relever les occurrences de mots-clés

La meilleure façon de faire, selon Lemon Interactive, est de regrouper tous ces keywords dans un fichier Excel, et d’y associer leur volumétrie, que vous pouvez obtenir avec le planificateur Semrush, mais pas avec l’autocomplétion de Google.

À partir de ce document, vous pouvez commencer par faire l’inventaire en utilisant la formule Excel qui permet de compter les occurrences de certains mots, et ainsi établir un relevé des mots qui apparaissent le plus.

Restons sur notre exemple des chaussures de foot : vous pouvez alors chercher quelle est l’occurrence du mot « Nike », du mot « rouge », du mot « crampon »… Ainsi, vous allez pouvoir voir, en un clin d’œil, les thématiques qui reviennent le plus.

Qualifier l’intention de recherche

En faisant ce travail, vous allez aussi pouvoir améliorer la qualité de la qualification de l’intention de recherche. Par exemple, est-ce que l’adverbe interrogatif qui ressort le plus est « comment », ou « pourquoi », ou « quand », ou « où »… ? Selon le résultat, vous allez pouvoir orienter votre stratégie de contenu conversationnelle :

  • Avec « où ? », misez sur le contenu géolocalisé ;
  • Avec « comment ? », misez sur les guides d’achat, le DIY… ;
  • Avec « pourquoi ? », faites dans l’information…

Dans Semrush, vous pourrez alors obtenir une estimation de l’intention de recherche, qui peut être navigationnelle (localisation), informative (pourquoi, comment), et commerciale (on s’intéresse à un produit) ou transactionnelle (on veut acheter le produit).

Relever les occurrences de mots-clés est donc un très bon moyen de déterminer l’intention de recherche.

Estimer la difficulté du mot-clé

Illustration d'une personne en train d'estimer la difficulté d'un mot-clé pour une page web qui vise un cluster thématique SEO.

Semrush permet également de considérer la difficulté du mot, même si cela reste une approximation. Cette fonctionnalité donne une estimation de la difficulté que vous pouvez rencontrer à travailler ce mot sur la page.

Si vous rencontrez une difficulté élevée avec un mot-clé satellite qui renforce votre sémantique, cela n’est pas très grave. En revanche, si un mot-clé central résume l’essence de la page dans ce pilier, vous devrez peut-être pivoter la stratégie SEO.

À partir de la liste obtenue, vous aurez une idée assez précise de la stratégie à employer pour aller chercher du trafic. Bien sûr, le traitement est bien plus complexe que cela, et Lemon Interactive peut vous accompagner, pour une analyse sémantique dédiée, incluant la clusterisation de mots.

L’exploitation des mots-clés

Une fois que vous avez regardé les occurrences des mots, leur typologie, leur difficulté et leur thématique, il vous faut alors les exploiter.

Le regroupement de mots-clés

À partir du moment où vous avez une bonne idée de l’utilité du mot-clé, de son intention, et de l’attente de l’utilisateur, vous pouvez commencer à travailler la clusterisation de vos keywords.

Par exemple, pour changer de registre, avec le mot « cuisine », vous pouvez avoir plusieurs intentions : faire de la cuisine, acheter du matériel de cuisine, des ingrédients de cuisine, ou encore une cuisine équipée. Il est donc important de qualifier le mot-clé, en travaillant plus précisément avec des mots-clés de longue traîne, comme « faire la cuisine », « cuisine équipée haut de gamme »…

L’objectif est d’avoir des familles, ou clusters de mots, qui vont constituer des noyaux autour desquels on va construire vos pages.

Une fois que ce travail est terminé, vous vous retrouvez avec une petite liste de mots-clés pour chaque page de votre site web, et autour de laquelle on peut extrapoler des thématiques et des questions.

Les deux techniques d’exploitation de mots-clés

Selon l’avancée de votre projet de création de site web, ou même de refonte de site web, vous pouvez être confronté à deux situations différentes, qui auront un impact sur l’exploitation de votre cluster de mots.

Le cluster thématique sur une page web déjà existante

Si votre site web, et la page concernée par votre cluster est déjà créée, il faut regarder la sémantique de la page, regarder si elle se positionne déjà bien ou pas dans la SERP sur le mot-clé ciblé. Si vous avez bien fait le travail, reprendre tout est inutile. L’objectif est alors de compléter le contenu, en croisant l’analyse entre ce que vous avez dans le cluster de mots et ce que vous avez sur la page, pour ensuite compléter ce qui manque et aller chercher les positions manquantes.

C’est bien sûr, le cas le plus simple. Mais si votre contenu n’est pas pertinent par rapport au mot tapé par l’internaute, cela place probablement la page à une position éloignée dans les classements de recherche. Une refonte profonde est alors plutôt envisageable.

Le cluster SEO en partant d’une création de page web

Si vous n’avez aucun contenu, et que votre concurrent est positionné sur un mot-clé et pas vous, il est nécessaire de produire le contenu de A à Z.

Il va alors falloir décider de la stratégie SEO à adopter :

  • Vous avez un petit volume de mots  à placer dans votre cluster, alors vous pouvez créer une page dédiée unique ;

L’essentiel est de garder à l’esprit qu’il est nécessaire de qualifier l’intention de recherche, et proposer en face la page la plus pertinente possible. En général, dans un mot-clé bien choisi, il y a une seule intention primaire, et pas plus. Il est donc essentiel de déterminer, avec les clusters, si on fait une seule page très fournie sur un sujet principal, ou si on élabore un cocon sémantique avec un maillage adapté.

Les points forts d’un excellent cluster SEO

La formation d’un cluster de mots demande un travail profond de recherche et de réflexion. Alors, pour vous assurer de ne rien oublier, et de structurer votre clusterisation de manière optimale, vous devez pouvoir axer vos groupes de thèmes autour de 3 éléments :

  • La page pilier, qui sert de pilier central à toute votre stratégie SEO de création de contenu. Cette page doit contenir un contenu long, type landing page ou article de blog, ciblée sur votre thématique dans sa globalité. À sa lecture, l’internaute et les moteurs de recherches doivent pouvoir comprendre la thématique générale de votre page. Un site web peut contenir alors plusieurs pages piliers ;

  • Le contenu du cluster, qui vient compléter et renforcer la page pilier. Concrètement, si la page pilier donne une vue d’ensemble de votre thématique, le contenu du cluster doit être parfaitement ciblé sur un seul sujet de votre thématique (mot-clé longue traîne). Pour une bonne clusterisation, on considère qu’une page pilier doit contenir entre 5 et 15 contenus de cluster ;

  • Les liens de chaque cluster : chacun de vos contenus de cluster doivent être reliés entre eux, et à la page pilier. Pour cela, le maillage interne, ou plusieurs techniques de netlinking, sont essentiels. Il vous faut alors créer des liens hypertextes dans chaque contenu, qui servent alors de fil rouge dans la navigation de l’utilisateur.

Comment reconnaître un cluster thématique performant ?

Après avoir travaillé des heures sur la création de votre cluster SEO, vous vous demandez si vos actions sont pertinentes et efficaces ? Voici ce qui caractérise une bonne clusterisation :

  • Un cluster thématique unique et complet, qui ne répond qu’à une seule thématique, et la couvre dans sa totalité, afin de répondre à toutes les questions des internautes ;

  • Un cluster qui évolue en permanence, pour mettre à jour le contenu et assurer une pertinence essentielle pour les utilisateurs, mais aussi pour les moteurs de recherches ;

  • Un cluster segmenté en groupes de sujets connexes clairement définis, qui facilitent la navigation et la compréhension de la structure du site.

Votre site web ne se positionne pas très bien dans les classements des moteurs de recherches ? Ou vous souhaitez créer un site parfaitement optimisé ? Lemon Interactive met à votre service son expertise pour créer un cluster thématique SEO qui ne laissera aucune place au hasard.

Illustration d'une personne devant un écran d'ordinateur qui réalise la maintenance d'un site internet.

Maintenance de site internet : pourquoi c’est essentiel ?

Une fois qu’un site web est en ligne, il faut assurer la création de contenus pour améliorer le référencement, mais il faut aussi garantir un bon niveau de sécurité et une optimisation de site web complète. Pour cela, la maintenance de site Internet est essentielle. Lemon Interactive vous explique l’importance de rester à jour, et comment y parvenir.

Pourquoi la maintenance d’un site web est essentielle ?

Il est primordial d’avoir un contrat de maintenance pour son site web, afin de le maintenir à jour, le préserver des bugs, le garder performant, et surtout, assurer sa sécurité. En effet, l’accumulation de problèmes et d’erreurs, au fil du temps, ne fait qu’empirer les choses et peut mettre en péril votre site web.

Les cas de figure observés chez Lemon Interactive

Chez Lemon Interactive, nous constatons presque quotidiennement les dégâts que peut créer une mauvaise maintenance de site. Plusieurs cas de figure sont alors possibles.

Nous voyons, par exemple, des sites sur des versions obsolètes, qui n’ont plus de sécurité et qui se font hacker, notamment par des récupérations d’IP qui sont balancées dans les communautés de hackers. Cela peut créer des problèmes divers, comme une home page qui ne s’affiche plus, des fausses pages dans les tunnels d’achat (pour récupérer des numéros de carte bleue), des faux articles sur les blogs avec des liens vérolés…

Les experts de Lemon voient aussi des sites avec des modules qui ne sont plus à jour, et qui provoquent des bugs entre eux, ou via des services linkés au site. On peut voir également des sites qui ne sont pas tenus à jour et qui sont super lourds, et donc lents à s’afficher, ce qui fait dégringoler les performances du site.

Tout ça peut découler d’une mauvaise maintenance car, même si un site est très bien développé, de nombreuses demandes peuvent surgir au fil du temps. Un contrat de maintenance est donc essentiel, pour pouvoir s’occuper de tous ces petits problèmes tout au long de la durée de vie du site, et pas seulement lors de sa mise en ligne.

Les différentes maintenances de site web

La maintenance d’un site web consiste tout simplement à entretenir régulièrement le site pour qu’il soit au maximum de ses performances. L’objectif est alors à 3 niveaux : prévenir, corriger et s’adapter.

La maintenance préventive d’un site web

Illustration de deux personnes réalisant la maintenance d'une page d'un site web pour prévenir des bugs et du piratage.

La maintenance préventive, également connue sous le terme de Tierce Maintenance Applicative (TMA), est cruciale pour anticiper et prévenir les problèmes potentiels d’un site web, comme les bugs ou les risques de piratage. Elle comprend une série d’actions proactives, telles que les mises à jour régulières du système de gestion de contenu (CMS), du thème, et des extensions utilisées.

L’objectif de la TMA est de protéger le site avant que les problèmes ne surviennent, évitant ainsi les interventions d’urgence et garantissant une continuité de service sans faille. Ceci est vital pour offrir une expérience utilisateur sans accroc, maintenir la performance et la sécurité du site, et assurer une présence en ligne fiable et efficace pour l’entreprise.

La maintenance corrective d’un site Internet

La maintenance corrective dans le domaine du web, est cruciale pour assurer le bon fonctionnement d’un site. Cette intervention d’urgence, souvent liée à des coûts imprévus, vise à réparer les bugs qui nuisent à l’expérience en ligne des utilisateurs, tels que les pages 404, les liens hypertextes brisés, ou les problèmes d’affichage du contenu.

Bien que la maintenance préventive puisse réduire la fréquence de ces dysfonctionnements, elle ne garantit pas leur absence totale, soulignant l’importance d’allouer un budget pour les urgences. 

La maintenance évolutive d’un site Internet

Enfin, la maintenance évolutive consiste à accompagner le site web dans son développement, en adaptant et améliorant ses fonctionnalités au fil du temps et de son activité, mais aussi en fonctions des besoins et objectifs du client. On peut alors décider de changer de serveur ou d’hébergement, pour se tourner vers une solution plus adaptée, par exemple.

Les contrats de maintenance de site chez Lemon Interactive

Chez Lemon, on aime parler d’accompagnement plutôt que de contrat de maintenance. En effet, dans les accompagnements, nous créons un vrai lien avec nos clients, en travaillant ensemble toutes les semaines, en connaissant parfaitement chaque site et chaque projet. 

Ce sont parfois des sites pour lesquels les équipes de Lemon étaient chefs de projet lors de leur conception. Et ensuite, la gestion a perduré jusqu’à l’accompagnement de maintenance. Il y a donc vraiment un lien qui se crée, et cela représente un point essentiel pour Lemon Interactive.

Nous proposons alors plusieurs types d’accompagnement :

  • L’accompagnement purement technique ;

  • L’accompagnement marketing ;

  • Ou les deux.

On détermine alors ensemble, avec le client, le temps nécessaire alloué à la maintenance, en fonction de la taille de son projet, de son site, et de ses besoins. Le temps de maintenance est alors compris entre une demi-journée par mois, à plus de 2,5 jours par mois, que l’on répartit sur l’année. 

Ainsi, les temps non consommés sur le mois se cumulent et se reportent au fil des mois. Si vous optez pour un contrat de 2 jours par mois, et que vous n’avez utilisé qu’un jour le premier mois, le mois suivant vous en aurez 3, et ainsi de suite…

Cela permet d’avoir une belle flexibilité, et d’être réactif sur les demandes et les besoins du client.

Une maintenance personnalisée selon vos besoins

Chez Lemon, en fonction de votre besoin d’accompagnement technique et/ou marketing pour votre site web ou entreprise sur internet, vous bénéficiez d’un ou plusieurs interlocuteurs dédiés, experts en solutions WordPress ou autres plateformes d’hébergement. Il suffit de les contacter par mail ou téléphone pour transmettre vos demandes. 

Ces experts s’occupent ensuite de mobiliser les ressources nécessaires, optimisant ainsi les coûts et la gestion du contenu en ligne. Le but est d’offrir une visibilité claire et une transparence totale concernant les coûts et le temps investi dans la maintenance de votre domaine internet et site web. Des réunions virtuelles mensuelles sont organisées pour discuter de l’avancement, permettant une gestion efficace du budget et des priorités, notamment pour les entreprises cherchant à optimiser leur présence en ligne sans dépasser les coûts prévus pour la maintenance technique et marketing.

Quelles sont les actions mises en place dans le cadre d’un accompagnement ?

Selon les demandes du client et du type de maintenance requise, les experts d’une agence web comme Lemon interviennent à plusieurs niveaux.

L’accompagnement technique par Lemon

L’accompagnement d’un site, d’un point de vue technique, vise à assurer des performances optimales pour l’utilisateur.

La mise à jour des CMS et des plateformes techniques

Illustration d'un ordinateur qui fait une mise à jour CMS pour corriger les failles de sécurité et faire une maintenance du site internet.

De nombreux sites web d’entreprises, aujourd’hui hébergés sur des CMS comme WordPress ou PrestaShop, nécessitent des mises à jour régulières.

Ces opérations, cruciales pour la correction des failles de sécurité et l’accès à de nouvelles fonctionnalités, sont comparables à l’actualisation régulière d’un ordinateur ou d’un smartphone.

En effectuant ces mises à jour, l’hébergement internet de votre site reste à la pointe de la technologie, renforçant ainsi la sécurité et optimisant les performances en ligne. Ce processus assure que le contenu de votre site, son domaine, et son infrastructure sur le web demeurent efficaces et compétitifs, tout en maîtrisant les coûts associés à la maintenance et l’évolution de votre plateforme en ligne.

La mise en conformité avec les exigences réglementaires 

La législation en matière de web et d’internet évolue constamment, avec de nouveaux textes de loi (comme la loi Hamon ou la réglementation européenne sur les cookies) qui apparaissent régulièrement. Lemon prend en charge la mise en conformité de votre site web d’entreprise, assurant ainsi que votre présence en ligne respecte les dernières normes légales. Cette approche garantit non seulement la légalité de votre site dans le domaine de l’internet mais offre également une tranquillité d’esprit à vos clients, souvent démunis face à ces complexités.

Avoir des interlocuteurs informés, capables de naviguer dans ces eaux législatives et d’implémenter les solutions nécessaires pour respecter la législation, représente un avantage indéniable pour votre entreprise, minimisant les risques légaux tout en optimisant les coûts associés à la conformité de votre site web.

Les modifications et évolutions techniques et fonctionnelles

Une fois le site lancé, qu’il est sur la bonne voie et qu’il fonctionne bien, il faut quand même s’adapter aux nouveaux besoins du client, qui évoluent avec le temps. Que ce soit une nouvelle fonctionnalité, un changement de comportement d’une fonctionnalité déjà en place (qui ne répond plus au besoin, ou qui peut être amélioré) ou encore les retours d’utilisateurs ou l’analyse dans le temps du site, les évolutions sont nécessaires. 

L’avantage de l’accompagnement technique, c’est que l’interlocuteur connaît déjà bien le site et le projet, et il sait conseiller le client dans la mise en place de modifications et d’évolutions de fonctionnalités.

L’autre point fort, c’est qu’il mettra aussi toute son expertise métier pour être proactif et proposer des évolutions pertinentes dans le temps. Chez Lemon, parfois, on va chercher le client pour lui proposer une fonctionnalité qu’on juge pertinente par rapport aux objectifs, et auquel il n’avait pas pensé (toujours dans le respect du temps de TMA).

Dans un accompagnement marketing

Lorsqu’il s’agit d‘accompagnement marketing, les équipes de Lemon Interactive s’intéressent davantage au contenu, au trafic et au positionnement du site.

L’actualisation et l’optimisation des contenus

Illustration d'une personne devant un ordinateur qui actualise un contenu sur une page de site internet et qui l'optimise.

Avoir du contenu à jour et régulier sur un site est important pour le référencement et le positionnement de celui-ci.

L’équipe webmarketing peut aider dans la rédaction et la publication de contenus optimisés et répondant à une stratégie SEO définie.

L’optimisation SEO du site

Le classement optimal d’un site web sur les moteurs de recherche ne se limite pas à la qualité de son contenu. La fluidité de la navigation et l’amélioration de l’expérience utilisateur jouent un rôle tout aussi crucial. L’expert en SEO prend donc en charge l’optimisation pour les moteurs de recherche, incluant la gestion des pages 404 pour réduire les erreurs de navigation, la mise à jour du balisage HTML pour améliorer la structure et l’accessibilité du site, ainsi que la création de liens entrants pour renforcer la présence en ligne.

L’analyse de l’audience et du positionnement du site

L’analyse du site permet de savoir qui et combien de personnes arrivent sur le site, par quel chemin ils passent, d’où ils viennent, comment ils parcourent le site, quel est le taux de rebond… Ces données très importantes, obtenues via des outils d’analyse, sont accessibles facilement et gratuitement, mais elles ne sont pas si faciles que ça à analyser.

Chez Lemon, on aide à voir et analyser le comportement, pour ensuite optimiser le référencement, afin d’atteindre les objectifs du client, en termes de trafic et/ou de conversion.

Lemon Interactive peut prendre en main la maintenance de votre site, pour lui assurer les meilleures performances dans la durée, et vous assurer d’avoir toujours un site sécurisé qui correspond à vos besoins.

Les questions pour maintenir son site à jour

Qu’est-ce qu’une maintenance de site internet ?


La maintenance d’un site internet englobe la vérification et la réparation des liens défectueux, la mise à jour continue du contenu, l’optimisation des performances et la sauvegarde régulière des données. Ces actions essentielles assurent la fluidité et la sécurité du site pour offrir une expérience utilisateur optimale.

Comment assurer la maintenance d’un site web ?


Pour maintenir votre site web, effectuez régulièrement des mises à jour de contenu, des sauvegardes de sécurité, et surveillez la performance du site. Considérez l’engagement d’une agence spécialisée ou utilisez des outils de gestion de site pour faciliter ces tâches essentielles de maintenance.

Qui s’occupe de l’entretien d’un site web ?


L’entretien d’un site web sur un hébergement mutualisé est géré par le fournisseur d’hébergement. En revanche, pour un serveur dédié, l’entretien technique est à la charge du propriétaire du site, qui peut faire appel à un technicien spécialisé pour gérer les mises à jour et la maintenance.

Comment entretenir un site web ?


Pour maintenir un site web, actualisez régulièrement le contenu, corrigez les liens brisés, optimisez les performances en termes de vitesse de chargement, et assurez la sécurité des données. L’ajout fréquent de contenu frais est aussi crucial pour améliorer votre visibilité sur les moteurs de recherche.

Illustration de deux personnes devant un téléphone sur un Facebook entreprise.

Facebook entreprise : 8 raisons d’avoir un compte

Les professionnels peuvent douter de l’intérêt d’avoir un compte sur Facebook, le réseau social n’étant plus aussi tendance aujourd’hui. Et si tout le monde s’accorde à dire que cette plateforme n’est plus aussi performante et intéressante qu’avant, chez Lemon Interactive, nous tenons malgré tout à dresser les 8 avantages d’avoir un compte Facebook entreprise comme réseau social, et vous prouver que cette présence reste stratégique.

L’histoire de Facebook en quelques mots

L’aventure Facebook commence en 2004, quand son créateur, Mark Zuckerberg, décide de concevoir un site destiné aux étudiants de l’université d’Harvard. Voyant rapidement tout le potentiel d’un tel projet, Zuckerberg étend l’accessibilité à d’autres universités, avant de donner l‘accès au grand public en 2006.

Considéré comme l’un des pionniers des réseaux sociaux, Facebook devient rapidement très populaire, et des milliards d’utilisateurs scrollent leur feed chaque jour à travers le monde entier.

Avec le temps et la popularité, Mark Zuckerberg étend son royaume en devenant propriétaire d’autres médias sociaux, comme Instagram et WhatsApp.

Sujet à controverse, notamment sur la protection des données et de la vie privée des utilisateurs, Facebook continue d’être influent, et reste l’une des plateformes les plus utilisées dans le monde numérique aujourd’hui.

Facebook en quelques chiffres

Pour bien comprendre l’importance de Facebook dans le monde des médias sociaux, rien ne vaut quelques statistiques. Ainsi, Facebook, c’est :

  • 2,958 milliards d’utilisateurs actifs mensuels dans le monde ;
  • 1,984 milliard d’utilisateurs actifs journaliers dans le monde ;
  • 40 millions d’utilisateurs actifs mensuels en France ;
  • 47,9 millions de visiteurs uniques par mois, et 26,9 millions par jour en France ;
  • 26,9 millions de visiteurs uniques quotidiens en France, soit +7 % par rapport à l’année précédente ;
  • 38,9 % des utilisateurs ont plus de 45 ans, près de 60 % ont plus de 35 ans, 25 % ont entre 25 et 34 ans et 14 % entre 18 et 24 ans ;
  • 28 millions d’utilisateurs français participent activement à des groupes Facebook ;
  • Une plateforme classée dans le top 5 des réseaux et messageries les plus utilisées sur les tranches d’âge de 11 à 34 ans ;
  • La 7e application mobile la plus téléchargée en France ;
  • La 2e application la plus utilisée chaque mois (derrière WhatsApp et devant Messenger et Instagram… 3 applications du groupe Facebook) ;
  • 160 millions d’entreprises utilisatrices, dont 80 millions de PME ;
  • 96 % des marketeurs B2C et 91 % des marketeurs B2B l’utilisent pour développer leur activité.

Qu’est-ce qu’une page Facebook entreprise ?

Illustration de trois personnes autour de statistiques 3D d'une page entreprise Facebook.

Si la plupart des gens connaissent le principe d’un profil Facebook pour utilisateur particulier, le fonctionnement de la page Facebook professionnelle reste flou pour beaucoup.

La page Facebook est une page complètement autonome, qui a pour but de promouvoir l’activité d’une société ou d’une marque. Elle est donc entièrement consacrée à la communication d’entreprise, et ne représente pas un individu.

L’objectif des pages Facebook professionnelles est donc de diffuser et partager du contenu, afin de promouvoir un service, un produit ou une offre. L’intérêt majeur est alors de pouvoir, par la suite, échanger avec les abonnés (ou fans), pour améliorer le taux d’engagement et le passage à l’action.

Pour diffuser plus largement les annonces Facebook et améliorer leur visibilité, le propriétaire d’une page entreprise a tout intérêt à utiliser le service de publicité Facebook payante, avec une campagne Facebook Ads.

Les 8 raisons d’avoir un compte Facebook entreprise

Au regard des différents chiffres sur Facebook, on comprend que les entreprises trouvent un certain intérêt à exploiter cette plateforme. Rentrons dans les détails en listant les 8 avantages de Facebook pour les entreprises.

Une audience large et massive

Facebook conserve, encore aujourd’hui, une audience massive, avec des milliards d’utilisateurs mensuels à travers le monde entier (presque 3 milliards, dont 40 millions en France). Une entreprise doit donc y voir l’opportunité de toucher une audience très large et très variée. Mais le gros intérêt, c’est surtout que les utilisateurs de Facebook ont des profils très diversifiés. En effet, on retrouve des internautes de toutes les tranches d’âge, et il est facile de toucher une large population, tout comme il est aussi possible de cibler très précisément un public cible avec des campagnes de publicité pointues destinées à une catégorie de personnes en particulier.

Il est donc relativement simple, avec ce média social, de transmettre votre message à votre client idéal, sans vous disperser et perdre en efficacité.

C’est un avantage certain par rapport aux autres réseaux sociaux, où les audiences sont dans des tranches d’âge bien plus délimitées. Si vous vendez un produit qui intéresse les 18 – 50 ans, vous aurez du mal à toucher la totalité de ces profils sur une plateforme qui réunit que des jeunes, par exemple. Avec Facebook, vous pouvez parfaitement cibler votre campagne publicitaire sur ces profils, et toucher beaucoup de monde.

L’engagement fort des utilisateurs

Illustration d'une femme avec un visuel d'engagement (95 likes) particulièrement important sur un Facebook entreprise.

Depuis quelque temps, Facebook met beaucoup moins en avant les posts organiques, et il devient très difficile de se faire une place dans le feed des internautes en créant des publications gratuites.

Une page professionnelle d’une entreprise est donc presque obligée d’avoir recours à la publicité payante pour assurer sa visibilité et sa notoriété. Le SMO (Social Media Optimization), ou référencement naturel sur les réseaux sociaux, n’est donc pas vraiment d’actualité sur Facebook, et mieux vaut miser sur le SMA (Social Media Advertising), ou référencement payant.

Malgré cela, les utilisateurs de Facebook passent en moyenne 34 minutes en ligne par jour sur la plateforme, ce qui laisse imaginer le potentiel de visibilité et d’interaction d’un compte bien alimenté, avec l’association de Facebook Ads et d’un contenu organique.

Le taux d’engagement des propriétaires de compte Facebook est alors à prendre en compte, car plus il y a d’interactions sur un post, plus il sera mis en avant par l’algorithme de Facebook. Et l’engagement sur ce réseau social n’est pas négligeable, puisque chaque mois, l’utilisateur Facebook va :

  • Liker 13 publications ;
  • Laisser 5 commentaires ;
  • Partager une publication ;
  • Cliquer sur 12 publicités.

La création de contenu régulière et qualitative permet alors d’améliorer le taux d’engagement, et donc de diriger les utilisateurs vers votre offre, ou même votre site web. Vous pouvez même utiliser les multiples options d’appel à l’action (CTA) que propose la plateforme pour booster davantage vos publications.

Les options publicitaires de Facebook

Parmi tous les médias sociaux actuels, Facebook propose les options publicitaires les plus avancées. Le ciblage d’audience est extrêmement pointu, et tient compte de la démographie, des intérêts, des comportements en ligne…

Bien sûr, d’un point de vue RGPD et exploitation des données personnelles, ces informations récoltées peuvent donner l’impression d’espionner ou de stalker l’utilisateur. Pourtant, en l’état, cela reste un très bon moyen de ciblage pour tous les publicitaires et pour tous les formats de publicité, que ce soit de la vidéo, un carrousel ou de l’image. Et cette méthode de collecte de données est tout à fait légale, bien que sujette à controverses.

Ces options sont très puissantes pour maximiser l’impact d’une campagne de publicité marketing, et ne sont donc clairement pas à négliger pour votre stratégie de communication commerciale sur Internet.

Un écosystème de réseaux sociaux synchronisés

Facebook est un réseau publicitaire bien plus étendu que certains ne le pensent, puisque Mark Zuckerberg ne s’est pas contenté de Facebook. En effet, il est également l’heureux propriétaire d’Instagram, WhatsApp et Messenger. Les entreprises peuvent alors élargir leurs réseaux publicitaires sur ces autres plateformes de l’univers Meta, depuis Facebook. C’est-à-dire que les réseaux sont reliés entre eux, et qu’une campagne Facebook peut être également diffusée sur Instagram, par exemple, sans avoir à créer deux campagnes identiques.

Il est d’ailleurs également possible de synchroniser les posts Facebook et Instagram en toute simplicité, afin d’assurer sa visibilité sur les deux réseaux rapidement et efficacement. Toutes ces options permettent d’accroître la visibilité et la notoriété d’une marque à moindre effort, et augmentent le potentiel de fidélisation des clients.

Des données d’analyses très complètes

La Meta Business Suite de Facebook fournit énormément de données très détaillées sur les statistiques des pages professionnelles. Cela permet d’avoir une idée très précise des performances de chaque post, et d’obtenir des données démographiques et des taux d’engagement. Ces informations sont essentielles pour ajuster une campagne publicitaire et optimiser les contenus, et ainsi obtenir un maximum d’impact pour les publications futures.

Ces données sont également intéressantes pour interagir avec votre communauté, dans un groupe Facebook, par exemple. En connaissant parfaitement votre audience, vous pouvez adapter votre discours et vos offres, pour créer une proximité essentielle à l’expérience utilisateur.

Un coût publicitaire assez bas

Illustration d(une homme devant une calculatrice en baisse de budget ads sur Facebook.

Comme pour toutes les stratégies publicitaires, le budget d’une campagne Facebook Ads va dépendre de la taille de l’entreprise et de l’ampleur de la campagne. Mais, sur Facebook, il est tout à fait possible de définir des budgets publicitaires assez bas, et garder un bon contrôle sur les dépenses, tout en obtenant de bons résultats.

Avec les options de ciblage très précises et une bonne stratégie SMA, vous pouvez avoir un budget limité sur une audience pertinente, et ainsi obtenir un excellent taux d’engagement.

La création de groupes

Facebook est le seul réseau social qui propose la création de groupe. Aujourd’hui encore, ces groupes, qui réunissent une communauté autour d’une thématique précise, sont très utilisés. Ils peuvent être privés, et accessibles que sur autorisation de l’administrateur, mais ils peuvent aussi être publics et ouverts à tous.

L’intérêt des groupes Facebook pour une entreprise est de pouvoir créer et animer une communauté en personnalisant ses échanges et en créant une relation de proximité très appréciée des consommateurs. Le groupe peut alors permettre de fournir un service client, d’organiser des événements, de partager des offres…

Cette option n’est vraiment pas à négliger, car elle permet de donner une image de marque dynamique et ouverte, et ainsi de fidéliser la clientèle et d’améliorer le taux de conversion.

La variété des contenus

Sur Facebook, les contenus peuvent être très variés. Les groupes en sont un exemple, mais vous pouvez également créer des articles, des carrousels, des reels, des stories, des publications de texte, de vidéo ou de photo… Il est même possible de faire un live, autrement dit, une vidéo en direct sur Facebook.

Tous ses formats permettent d’attirer une audience ciblée et de diversifier son contenu. Il faut alors pouvoir investir du temps sur Facebook, en Ads ou en organique, pour pouvoir faire de l’A/B testing sur le type de format, mais aussi sur les options de ciblage des campagnes. Mais le jeu en vaut la chandelle, car en trouvant le format et la cible précise de votre stratégie marketing, vous pouvez obtenir d’excellents résultats.

Comment créer une page Facebook Pro ?

Vous souhaitez créer votre page Facebook entreprise ? Rien de plus simple, il suffit de suivre chaque étape :

  • Créez un compte Facebook sur lequel vous allez vous connecter, allez dans le menu, puis cliquez sur « page » ;

  • Choisissez un nom de page, une catégorie, une image de profil et une photo de couverture ;

  • Remplissez votre page avec les informations de votre entreprise, des photos, un petit à propos ;

  • Alimentez votre page avec du contenu et interagissez avec vos fans.

Facebook est donc un réseau très intéressant pour une entreprise, car les options de ciblage et la large audience permettent de toucher votre client idéal. En revanche, il ne faut pas compter que sur le contenu organique, et prévoir dès le début un budget pour une campagne Facebook Ads.

Pourquoi créer un compte Facebook professionnel

Comment avoir un Facebook entreprise ?


Pour créer un Facebook entreprise, rendez-vous sur la page de création de Pages Facebook et sélectionnez une catégorie qui correspond à votre entreprise. Remplissez les informations requises, et suivez les étapes pour personnaliser votre page.

C’est quoi un compte Facebook professionnel ?


Un compte Facebook professionnel est une plateforme spécifiquement créée pour les entreprises, marques ou organisations sur Facebook. À la différence d’un profil personnel, il offre des outils de marketing et des statistiques pour engager une audience ciblée et promouvoir des services ou produits en ligne de façon plus efficace.

Comment passer en mode entreprise sur Facebook ?


Pour passer en mode entreprise sur Facebook, allez sur votre profil et cliquez sur les trois points à côté de « Modifier le profil ». Sélectionnez ensuite « Activer le mode professionnel » et cliquez sur « Activer ». Remplissez les informations requises pour finaliser la bascule.

Quel est l’intérêt de Facebook pour une entreprise ?

Facebook offre aux entreprises une visibilité accrue grâce à ses milliards d’utilisateurs actifs. En l’utilisant, une entreprise peut cibler efficacement son audience, augmenter la notoriété de sa marque, interagir avec sa clientèle et générer du trafic vers son site, ce qui est clé pour élargir sa clientèle et ses revenus.

Illustration des modifications possibles sur un format SVG avec une femme devant un ordinateur.

Format SVG : c’est quoi et quels sont ses avantages ?

Dans le web, il existe une multitude de formats de fichier, que ce soit pour du texte, des images, ou encore de la vidéo. Tout le monde connaît, ou a déjà entendu parler des formats JPEG, HTML, PHP… Mais connaissez-vous le format SVG ? Ce format, utilisé pour l’affichage d’images, d’illustrations 2D et de graphiques sur site web, fait partie des incontournables chez Lemon Interactive, et devrait l’être, selon nous, pour tous les éditeurs de sites. On vous explique pourquoi.

Qu’est-ce que le SVG ?

Le SVG, ou Scalable Vector Graphics (Graphique Vectoriel Adaptable en français), est un format de données basé sur du XML. C’est alors un format de fichier vectoriel parfaitement optimisé pour le web, et particulièrement recommandé par les professionnels.

À l’opposé des formats type PNG, JPEG ou même le format WebP, dits « matriciels », et qui fonctionnent avec des pixels, les formats SVG sont dits « vectoriels » et fonctionnent avec un système de code avec des points. On retrouve ce schéma vectoriel avec le format AI d’Illustrator, par exemple.

Ainsi, ce format de fichier parfaitement optimisé pour le web permet de redimensionner les logos et images sans perte de qualité, contrairement aux autres formats. C’est là sa principale force, mais ce n’est pas la seule.

Chez Lemon Interactive, la team UI-UX récupère souvent des projets de site web qui ont une belle charte graphique, avec un logo en différents formats, comme Photoshop, PDF, Illustrator, ou PNG. Mais, bien souvent, le format SVG manque à l’appel, ce qui limite grandement les possibilités de personnalisation du site. 

Les origines des fichiers SVG

Le format SVG a vu le jour en 1999, suite à la demande du World Wide Web Consortium (W3C) de proposer un nouveau format d’image vectorielle. Les développeurs ont donc travaillé sur ce projet, et le format SVG est né. 


Il n’a pas vraiment connu de succès et est resté peu utilisé pendant une longue période. Mais dès 2017, les professionnels du design web ont commencé à voir les avantages d’un tel format, et aujourd’hui, on l’utilise couramment pour les images 2D des sites Internet.

Dans quels cas utilise-t-on les fichiers SVG ?

S’il a longtemps été mis de côté par les designers web, le format SVG a beaucoup évolué, et sert aujourd’hui dans de nombreux cas.

Afficher un logo ou une icône sur un site web

Illustration d'une femme modifiant l'affichage d'un logo au format SVG.

Le principal cas d’usage du format vectoriel SVG est l’affichage des logos et des icônes sur les sites Internet. Et s’il est surtout utilisé dans ce cas précis, c’est parce qu’il permet d’obtenir une image que l’on peut redimensionner à volonté, sans jamais altérer sa qualité.

On peut alors facilement réduire ou augmenter la taille d’une image afin qu’elle s’adapte à l’emplacement dédié.

Améliorer le référencement du site web

Le SEO peut sembler totalement hors sujet dans le cas du format SVG. Pourtant, grâce au code XML, les graphiques et les illustrations comportant du texte peuvent être lus par Google. Si le contenu comporte des mots-clés ciblés, Google les interprète et permet potentiellement d’améliorer le positionnement du site dans la page des résultats de recherche (SERP).

Animer un logo ou une image

En SVG, il est tout à fait possible de modifier une partie d’un logo, pour l’agrandir, changer la couleur, changer la forme… On peut cibler les éléments à l’intérieur du logo SVG, et les modifier un par un, chose qu’on ne peut pas faire en PNG.

Cela représente donc une option intéressante pour intégrer des animations sur un visuel, grâce au CSS.

Quelles sont les grandes forces du format SVG pour le web ?

Si les experts UI-UX recommandent fortement l’utilisation du format SVG pour les logos d’entreprise ou les autres visuels importants, c’est qu’il présente de nombreux avantages.

Le SVG est très léger

Le format Scalable Vector Graphics a l’avantage indéniable d’être très léger. C’est une de ces grandes forces, notamment sur un site web lourd, aux nombreux fichiers images. 

Prenons pour exemple le logo Lemon Interactive : si vous l’enregistrez en PNG, il aura un poids de 50 Ko. Ce poids est énorme et peut ralentir les performances dès qu’on le charge sur le site web de Lemon. En revanche, si vous l’enregistrez au format SVG, il ne fera plus que 12 Ko, sans aucune différence à l’œil nu. Si cela allège grandement votre site, cela joue aussi en faveur du référencement du site, qui gagne en vitesse de chargement, l’un des critères majeurs des Core Web Vitals de Google.

Un fichier SVG est redimensionnable

Illustration de deux personnes devant un fichier SVG en train de le redimensionner.

Vous allez probablement penser qu’un fichier PNG est lui aussi redimensionnable. Sauf que si vous essayez d’agrandir une image PNG, vous allez très vite vous rendre compte que le rendu ne sera pas net.

En effet, plus on étire les pixels de ce type de fichier, et plus ils se voient et se dégradent. Il est alors impossible de passer d’un logo PNG de 100 X 100 pixels à un logo de 500 X 500 pixels sans perdre en qualité d’image, jusqu’à rendre le logo inutilisable et illisible.

Avec le SVG, ce ne sont pas des pixels, mais du code avec des points. Ainsi, si on étire l’image, la qualité ne va pas bouger. Et cela est valable à l’infini !

Le texte n’est plus traité comme un design

Il n’est pas rare de voir des logos avec du texte, comme un slogan ou tout simplement le nom de l’entreprise. Avec un format d’image pixellisé, le texte est alors indissociable de l’image, et considéré comme un design ininterprétable. 

En revanche, avec un format SVG, le texte est géré comme du texte. Ainsi, un lecteur d’écran est tout à fait capable d’analyser les mots présents sur l’image SVG. Cette fonctionnalité est très intéressante pour améliorer le référencement d’un site, car les moteurs de recherche vont indexer le texte du fichier SVG, mais elle permet aussi aux personnes utilisant l’aide audio pour lire un contenu web d’entendre le nom du logo.

Les petits points faibles des fichiers SVG

Illustration d'un homme avec une loupe montrant un fichier SVG et ses défauts éventuels.

Bien sûr, aucun format d’images n’est jamais vraiment parfait, et il faut reconnaître que le SVG peut présenter quelques inconvénients.

  • L’affichage n’est pas adapté aux photos numériques de très grande qualité : si le fichier SVG est parfait pour un graphique, un logo ou une illustration, il montre quelques faiblesses quand il s’agit d’afficher une photo numérique de grande qualité. En effet, l’absence de pixel complique l’affichage des photographies aux nombreux détails. Mieux vaut, dans ce cas, se tourner vers un format JPEG, plus approprié ;

  • Les vieux navigateurs ne le prennent pas en charge : si tous les navigateurs récents prennent en charge le format SVG sans difficulté, ce n’est pas toujours le cas des plus anciens. C’est d’ailleurs une des raisons pour lesquelles le SVG a mis du temps à se déployer ;

  • Le code des images SVG n’est pas simple : les non-initiés peuvent vite se sentir dépassés par le code contenu dans les fichiers SVG. Il faut une certaine pratique pour commencer à se familiariser avec ce format particulier.

Comment créer un logo SVG ?

Pour pouvoir créer votre logo en format SVG, il va vous falloir utiliser un logiciel de vectorisation, comme Illustrator, par exemple. Mais cela n’est pas si simple, et il est parfois préférable de confier la tâche à un graphiste. 

Pour l’intégrer à votre site web, là encore, mieux vaut faire appel à un développeur qui maîtrise le code à la perfection.

Vous avez un logo, mais il vous manque sa version SVG ? Lemon Interactive vous encourage vivement à créer votre logo en format SVG, afin de profiter des nombreux avantages de ce format devenu incontournable.

Qu’est-ce que le format SVG et pourquoi l’utiliser ?

Quel logiciel pour Fichier SVG ?


Pour travailler avec des fichiers SVG, les logiciels les plus populaires incluent Adobe Illustrator, pour une approche professionnelle, et Inkscape, qui est gratuit et open-source. CorelDRAW offre également de puissants outils de vectorisation, tandis que Sketch ou Figma sont des options privilégiées par les designers UX/UI.

Comment convertir un fichier en SVG ?


Pour convertir un fichier en format SVG, utilisez un convertisseur en ligne gratuit ou un logiciel de graphisme qui supporte l’importation et l’exportation de fichiers SVG. Chargez votre fichier, sélectionnez ‘SVG’ comme format de sortie et cliquez sur ‘Convertir’. Téléchargez ensuite votre nouveau fichier SVG. Cela optimisera la compatibilité pour le web et les éditeurs graphiques.

Comment créer un Format SVG ?


Pour créer un fichier SVG, vous pouvez utiliser un éditeur graphique vectoriel comme Adobe Illustrator ou Inkscape. Commencez par ouvrir le programme, créez votre design, et choisissez ‘Enregistrer sous’ pour sauvegarder votre œuvre au format SVG. Assurez-vous que votre titre et vos balises sont pertinents pour améliorer le référencement SEO.

Quel est le format qui a remplacé le SVG ?


Aucun format n’a officiellement remplacé le SVG puisqu’il reste largement utilisé pour ses avantages en termes de mise à l’échelle et de résolution. Cependant, de nouvelles technologies comme HTML5 Canvas ou des formats comme WebP gagnent en popularité pour certaines utilisations graphiques sur le web.

Illustration de 3 personnages autour de graphiques sitemap pour leur SEO.

Créer un sitemap SEO : améliorer son référencement sur Google

Une stratégie SEO pour un site web comprend de nombreuses astuces à mettre en place. Et si on pense souvent à toute la partie visible du référencement naturel, comme l’usage des mots-clés et du netlinking, certaines astuces sont aussi à mettre en place au sein du site web. Parmi elles, la création d’un sitemap contribue à améliorer le SEO sur Google.

Qu’est-ce qu’un sitemap XML ?

Un sitemap XML est un fichier crucial qui contient, en principe, toutes les URLs de votre site web, ou du moins toutes celles que vous souhaitez soumettre pour indexation aux moteurs de recherche comme Google, Yahoo, ou Bing.

Ce document XML joue le rôle d’un annuaire détaillé de votre site Internet, offrant aux moteurs de recherche toutes les informations nécessaires pour explorer chaque page HTML et crawler efficacement le contenu de votre site, assurant ainsi qu’aucune page importante, y compris celles gérées par des systèmes de gestion de contenu comme WordPress, ne soit omise.

Quels sont les avantages du sitemap pour votre SEO ?

Le CMS génère souvent automatiquement le sitemap XML, qui passe inaperçu, et on ne réalise pas son intérêt pour le SEO du site web. Pourtant, créer un sitemap s’avère être une bonne stratégie de référencement naturel.

Guider les moteurs de recherche dans la profondeur de crawl

Illustration de 3 personnes avec des loupes en train de crawl le sitemap d'un site.

Les sitemaps XML sont particulièrement intéressants, car ils permettent de vous protéger un tant soit peu contre ce qu’on appelle la profondeur de crawl.

Pour rendre les choses un peu plus concrètes, imaginons un site e-commerce avec beaucoup de catégories, de sous-catégories, et même de sous-sous-catégories.

Avec un crawl classique des robots de Google, les urls placées très bas dans l’arborescence risquent de ne jamais être visitées, et donc de ne jamais être indexées. Mais si vous déclarez ces urls dans le sitemap, le Googlebot saura qu’il doit aller visiter ces pages, et lui accordera son attention.

Piloter les déclarations d’urls et les priorités

Le second avantage notable du sitemap XML réside dans sa capacité à vous permettre de gérer avec précision quelles pages vous déclarez à Google pour l’indexation et celles sur lesquelles vous souhaitez mettre l’accent. 

Par exemple, lors du lancement de votre site web, si vous désirez que Google accorde une attention particulière à vos pages de catégories et à votre page d’accueil, vous pouvez créer un sitemap XML spécifiquement dédié à ces pages importantes. En incluant uniquement ces URLs essentielles dans votre sitemap, vous dirigez efficacement les moteurs de recherche vers le contenu que vous jugez prioritaire.

Pour argumenter cette technique, rappelons que lors d’un crawl de Google, seulement 80 % de ses lectures de nouvelles pages se font à travers une navigation classique. Les 20 % restants ne se font qu’en suivant les liens du sitemap.

Optimiser le budget crawl

Par extension, le sitemap XML permet d’optimiser votre budget crawl, puisque vous pouvez guider Google directement vers les pages que vous jugez prioritaires, sans le laisser perdre son temps sur des pages inutiles, ou moins importantes. Ce n’est pas l’élément le plus décisif, mais il est à prendre en ligne de compte. Le sitemap fait ainsi partie des techniques de fine tuning pour votre SEO, autrement dit, il permet de mettre en place des tâches extrêmement précises pour améliorer le référencement naturel de votre site Internet.

Comment marche un sitemap XML ?

Un sitemap XML est régi par les règles dictées par le site sitemaps.org, et notamment par son protocole. Le sitemap XML, comme son nom l’indique, est donc un fichier XML dans lequel vous allez déclarer une url et sa localisation, et de façon facultative, la date de sa dernière modification, sa fréquence de changement, et la priorité du crawl.

Bon à savoir : pendant longtemps, la priorité de crawl avait pour vocation de mettre l’accent sur les pages les plus importantes. Aujourd’hui, Google lui-même reconnaît que la priorité de crawl n’est plus du tout utilisée, et donc totalement obsolète.

Les astuces à savoir avec le sitemap

La mise en place d’un sitemap XML n’est pas forcément très intuitif, et il peut être intéressant de connaître certaines astuces pour optimiser le sitemap de son site.

Créer un fichier sitemap d’index

Illustration d'un homme ajoutant une case dans un index sitemap.

Si votre site Internet comporte énormément d’urls, ne vous sentez pas obligé pour autant de créer un sitemap XML gigantesque. Il existe un autre fichier, en couple avec le sitemap, appelé le sitemap index, et qui permet d’avoir un annuaire de sitemaps au sein desquels vous avez plusieurs sous-sitemaps.

On peut, par exemple, avoir un sitemap pour les catégories de produits, un autre pour les produits, et encore un autre pour les pages institutionnelles.

Pour résumer, un fichier d’index de sitemap est un annuaire de tous vos autres sitemaps, qui sont eux-mêmes des annuaires de vos urls.

Le plugin Yoast SEO sur WordPress génère automatiquement le sitemap d’index dans de nombreux cas.

Bon à savoir : Google autorise les sitemaps de 50 Mo maximum, avec une limite de 50 000 urls. Si votre site web est conséquent, vous devriez diviser votre sitemap en plusieurs sous-sitemaps.

Soumettre le sitemap aux moteurs de recherche

L’idéal est de déclarer votre sitemap directement auprès de Google, en utilisant la Google Search Console. C’est très important pour la prise en considération de la sitemap par les robots de Google, et pour accélérer l’indexation de vos pages web. Rappelons quand même que l’indexation n’est pas systématique dans ce cas-là. 

Vous devez également déclarer le sitemap XML dans le fichier robots.txt en utilisant la fonction sitemap:url du sitemap.

Vérifier la façon dont le CMS régit les urls de votre site web

La plupart des CMS, tels que WordPress ou PrestaShop, génèrent automatiquement un sitemap. On a donc tendance à les laisser gérer. Il faut toutefois penser à régler, dans les paramètres du CMS, la façon dont il va régir les urls indiquées, pour que ne soient présentes que les urls utiles.

En effet, avec beaucoup de CMS, il est fréquent de voir sur le sitemap des urls totalement obsolètes ou inutiles pour Google, ce qui n’est pas souhaitable. C’est d’autant plus vrai que, sans sitemap, Google ne les aurait jamais découvertes, et vous n’auriez jamais eu de pages indexées inutilement.

Les conseils pour optimiser votre sitemap pour le SEO

Après avoir fait le tour des subtilités d’un sitemap, il ne reste plus qu’à le mettre en place. Pour cela, voici quelques astuces pour optimiser votre sitemap pour le SEO.

Personnaliser votre sitemap

Avec un sitemap, vous avez la chance de pouvoir faire ce que vous voulez. Imaginons alors un exemple : vous avez un site e-commerce avec 200 000 urls dont 100 000 produits, et votre priorité est de vous référencer sur la catégorie de produits, plutôt que sur le produit en lui-même. Avec un sitemap, il est possible de ne pas présenter les urls de vos produits, pour vous concentrer sur les catégories, sous-catégories, voire les sous-sous-catégories.

Pour y parvenir, vous pouvez donc faire un réglage manuel du sitemap, ou via les réglages du CMS, dans lequel vous ne déclarez que les urls qui vous intéressent. Google aura ainsi plus de chances de les crawler, et donc d’augmenter sa considération pour elles.

Créer un sitemap d’images

Illustration d'un homme devant un sitemap d'images.

Beaucoup de sites, aujourd’hui, ont besoin de se référencer sur Google Images et ont la volonté d’être visibles dans cette partie-là du moteur de recherche, que ce soit parce qu’ils sont dans la photographie, ou parce que leurs produits sont susceptibles de ressortir facilement sur une recherche Google Images.

Il existe alors la possibilité de faire un sitemap d’images. Que ce soit en association avec une url, grâce à la balise image:loc, ou à travers un sitemap dédié aux images et illustrations, il est tout à fait possible d’en faire une priorité lors de la création d’un sitemap.

Vous avez alors deux possibilités :

  • Faire un sitemap à part, pour toutes les images ;

  • Faire un sitemap où vous allez associer une url à une image, grâce à la balise image:loc.

Dans les deux cas, vous allez améliorer la pertinence aux yeux de Google de vos illustrations, et vous aurez plus de chances de ressortir dans Google Images.

Gérer l’indexation des pages

Le sitemap est aussi un très bon allié dans tous les cas où vous souhaitez retirer rapidement des pages de l’index de Google, avant de les rendre inaccessibles ou de les rediriger.

Cela peut être le cas, par exemple, si vous avez été victime d’un hack avec énormément d’urls à désindexer, ou si vous avez fait un audit du site et que vous vous êtes rendu compte qu’il y avait beaucoup de pages spam ou inutiles à supprimer.

Vous pouvez alors placer une instruction « noindex » sur toutes ces pages, et ensuite faire un sitemap dédié aux pages « noindex ». Cela peut paraître contre-intuitif, étant donné qu’on n’a pas envie que Google les crawle, mais pour que Google désindexe une page, il faut d’abord qu’il la parcoure. Alors, faire un sitemap dédié aux pages sur lesquelles on vient de renseigner une instruction « noindex » permet à Google de prendre plus rapidement en compte cette instruction.

Booster l’indexation de certaines pages

Dans une bonne pratique, il est conseillé de faire régulièrement de l’analyse croisée entre les pages que vous avez réellement sur un site web, et celles que vous souhaiteriez voir indexées, mais qui ne le sont pas, pour diverses raisons (maillage, erreurs de crawl…).

En ce sens, il est tout à fait possible de créer un sitemap dédié aux pages pertinentes pour votre activité, mais qui n’ont pas encore été indexées, et le déclarer dans la Search Console et le robots.txt. Vous indiquez alors à Google d’aller le crawler, et il va prendre en compte rapidement les pages.
Si Google a une chance de les indexer, il les référencera alors.

Même si votre sitemap est généré automatiquement par votre CMS, il est toujours intéressant de garder la main dessus pour mieux régir vos urls. Lemon Interactive peut alors vous aider à construire un sitemap cohérent qui permettra aux moteurs de recherche d’explorer vos pages, et idéalement, d’améliorer votre SEO.

Comment fonctionne un sitemap ?

Qu’est-ce qu’un sitemap en SEO ?


Un sitemap en SEO est une carte qui aide les moteurs de recherche à indexer correctement les pages de votre site web. Il s’agit d’un fichier XML qui liste URL par URL pour informer Google des pages importantes et de leur hiérarchie, ainsi que de la fréquence de leurs mises à jour, optimisant ainsi le crawl et l’indexation.

Comment générer un sitemap ?


Pour générer un sitemap, utilisez un outil tel que Google Search Console ou un générateur de sitemap en ligne. Après avoir sélectionné les pages à inclure, créez le fichier XML et soumettez-le à Google via la Search Console. Assurez-vous que le fichier sitemap est actualisé régulièrement pour refléter les changements de votre site.

Où se trouve le fichier Sitemap XML ?


Pour trouver votre sitemap XML, ajoutez simplement « /sitemap.xml » à la base de l’URL de votre site (exemple : « votresite.com/sitemap.xml »). Vous pouvez également accéder au sitemap via votre tableau de bord de référencement en suivant : Marketing > Référencement > Sitemap.

Illustration de deux personne avec un handicap qui naviguent sur internet avec un ordinateur et un smartphone.

Accessibilité web et RGAA : le guide essentiel des normes accessibles

L’accessibilité web se positionne comme un enjeu majeur. Il s’agit de garantir un accès universel aux contenus et services numériques, y compris pour les personnes en situation de handicap. Ce défi est adressé par le RGAA (Référentiel général d’amélioration de l’accessibilité), un dispositif législatif structuré qui oriente vers un numérique pour tous. Qu’il s’agisse de sites internet, d’applications ou de tout autre support numérique, elle est à l’ordre du jour car la connexion ne devrait pas connaître de barrières.

A quoi sert le référentiel général d’amélioration de l’accessibilité ?

Le référentiel général d’amélioration de l’accessibilité (RGAA) est une réglementation en France qui joue un rôle clé dans l’optimisation de l’accessibilité des sites web. En axant la stratégie d’un site sur la conformité aux normes internationales d’accessibilité numérique connues sous l’appellation WCAG.

Fonctions fondamentales et évolution du RGAA

Illustration de deux personnes qui mesurent les critères de l'accessibilité sur une feuille RGAA.

Il permet de contrôler l’accessibilité d’un site et de ses contenus. Il sert de système de mesure, calculant le taux d’accessibilité d’un site en passant au crible ses pages web en fonction des critères qu’il énonce. Pour ce faire, il recense 106 critères de contrôle, avec une moyenne de 2,5 tests par critère. 

Depuis sa création, il continue d’évoluer pour répondre aux changements en matière de normes d’accessibilité. Sa version la plus récente, la 4.1, a été publiée le 18 février 2021. Cette mise à jour notoire supprime la distinction entre les niveaux A et AA de conformité, rendant toutes les régulations obligatoires.

En pratique avec le RGAA

En pratique, il présente des techniques d’implémentation, comme l’utilisation de HTML, CSS, JavaScript, pour vérifier le respect des critères, réduisant ainsi les écarts d’interprétation concernant le respect des normes.

De plus, en cas d’absence de mise à jour du référentiel sous 3 ans pour prendre en compte de nouveaux standards ou spécifications techniques, il est recommandé de créer des tests supplémentaires.

Limites du RGAA

Malgré son efficacité, il présente des limites notables. Actuellement, sa méthode technique ne cible pas directement les applications mobiles natives, les progiciels et le mobilier urbain numérique. Pour ces derniers, il sera donc nécessaire de vérifier directement l’application de la norme de référence EN 301-549 V2.1.2.

Qui est concerné par le RGAA ?

C’est une exigence cruciale pour une gamme spécifique de services et organisations. Il est notamment important de citer les différentes entités qui vont suivre.

Entités publiques et privées concernées

Cette mesure concerne toutes les organisations publiques. Cela inclut notamment ceux de l’État, les collectivités territoriales, les établissements publics, ainsi que les organisations délégataires d’une mission de service public.

En outre, les conditions du RGAA s’imposent également aux entreprises privées réalisant un chiffre d’affaires supérieur à 250 millions d’euros en France. Les organisations d’intérêt général figurent aussi parmi les entités concernées.

Exigences pour les services en ligne

Il étend ainsi son territoire bien au-delà des sites web conventionnels. En effet, toutes les applications employées via un navigateur web sont concernées par le RGAA, y compris les sites internet, intranet et extranet.

Sur chaque page d’accueil des services en ligne, les mentions « Accessibilité : non conforme », « Accessibilité : partiellement conforme » ou « Accessibilité : totalement conforme » doivent être clairement affichées, en fonction de l’état de conformité actuel.

Règles, vérifications et conformité

Illustration d'une personne qui pèse dans la balance les sanctions financières.

Il ne se contente pas de fixer des règles et lois de mise en œuvre, il fournit également une méthode de vérification. Ces contrôles permettent d’évaluer le niveau de régularité au RGAA, pouvant donc entraîner une sanction financière de 20 000 euros par service en ligne dans le cas d’un manquement aux obligations.

Plus qu’une simple obligation légale, l’adhérence au RGAA est une responsabilité envers la société. Elle démontre un engagement envers l’accessibilité numérique, créant un environnement digital inclusif pour tous.

En fin de compte, la mise en œuvre du RGAA permet d’élaborer un web mieux adapté aux besoins de chaque utilisateur, garantissant une expérience équitable et compréhensible pour tous.

Qui peut faire un audit d’accessibilité ?

L’audit d’accessibilité fait partie intégrante du respect des principes d’amélioration de l’accessibilité pour les utilisateurs des services de communication en ligne. L’organisme lui-même peut réaliser cela, dans un processus appelé autoévaluation, ou un consultant externe peut le faire. Notre agence web spécialisée peut réaliser votre audit, il est alors possible de réaliser trois types d’audits :

  • L’audit flash 25 : Basé sur les 25 critères les plus essentiels du RGAA 4, idéal pour les sites vitrine et institutionnel.

  • L’audit flash 50 : Basé sur la moitié des critères du RGAA 4, notamment d’usage pour les sites e-commerce.

  • L’audit complet : Basé sur les 106 critères du RGAA 4, c’est le seul audit ayant une valeur légale avec un score associé.

Cet audit vise à évaluer si le site respecte les conditions d’accessibilité définies par le cadre réglementaire.

Principe de représentativité de l’échantillon

Illustration de trois personnes autour d'un homme réalise un audit de site accessible avec des étoiles de notation.

Il est important de noter que cet audit doit être fiable et représentatif. Il incombe donc à l’organisme de s’assurer de la fiabilité de l’évaluation, que ce soit par formation interne, audit croisé ou recours à un prestataire externe.

Du point de vue de sa représentativité, l’audit doit couvrir un échantillon représentatif des pages du site. La sélection des pages à auditer devrait tenir compte en particulier du nombre de visiteurs par page ou des différentes fonctionnalités proposées.

L’échantillon sur lequel est réalisé l’audit doit inclure plusieurs types de pages, la page d’accueil, page contact, page mentions légales, page accessibilité, plan du site, page d’aide, ainsi que la page d’authentification. Il peut également inclure des pages spécifiques pour chaque type de prestation fourni, des documents téléchargeables, des pages ayant des contenus différents, et des pages tirées au sort pour garantir l’objectivité du processus.

Environnement de test

En plus, l’audit d’accessibilité web associe certains de ses critères à la technologie, incluant les tests sur les technologies d’assistance, les navigateurs et les systèmes d’exploitation. C’est ce qu’on appelle l’environnement de test.

Il est nécessaire de contrôler chaque page de l’échantillon selon les conditions spécifiques qui s’appliquent à elle. Vous devez donc vérifier la validation de chaque critère et, le cas échéant, expliquer clairement les raisons pour lesquelles certains ne sont pas applicables.

Taux de conformité à la norme

Ce taux permet de mesurer les progrès du site en matière de régularité aux normes d’accessibilité. La validation des critères sert de base au calcul, donnant ainsi un aperçu des changements nécessaires.

Comment se former à l’accessibilité web ?

En vue de se former à ce sujet, diverses options s’offrent à vous, allant des formations sur internet aux ateliers pratiques. Ces formations sont conçues pour transmettre des compétences essentielles en matière d’accessibilité numérique, en mettant l’accent sur son intégration dans la conception.

Formations en accessibilité numérique

Il existe de nombreuses formations qui axent leur travail sur l’accessibilité numérique. En plus des inscriptions ouvertes, la plupart des formations sont également disponibles en replay. Ces formations touchent donc à divers aspects.

  • Atelier sur la pratique de l’accessibilité numérique : Cet atelier est destiné à la mettre en œuvre  tout au long du cycle de vie d’un projet numérique.

  • Formation sur la création de PDF accessibles : Vous apprendrez à créer des documents PDF accessibles aux personnes handicapées, avec les logiciels bureautiques courants ou à l’aide de vos propres systèmes de génération de PDF.

  • Atelier sur la vérification de l’accessibilité : Ici, vous découvrirez comment contrôler l’accessibilité des interfaces comme premier pas vers l’audit de conformité.

Comprendre la nécessité de la mise en place de l’accessibilité web nécessite un investissement long mais les bénéfices que vous en retirez valent cet investissement. Que vous soyez un développeur web cherchant à améliorer vos compétences, un chef de projet cherchant à rendre vos services web plus accessibles ou simplement quelqu’un qui s’intéresse à la conception accessible, approfondir le sujet du RGAA est important et permet de mieux anticiper les besoins de vos utilisateurs.

Pour mieux connaître l’accessibilité

Quels sont les 4 principes de l’accessibilité ?


Les 4 principes de l’accessibilité web sont: perceptibilité (les infos doivent être présentées de manière à être saisies par les utilisateurs), utilisabilité (les composants des interfaces et la navigation doivent être opérationnels), compréhensibilité (l’information et l’utilisation doivent être intelligibles), et robustesse (le contenu doit pouvoir être interprété de manière fiable par une large gamme d’utilisateurs et de technologies d’assistance).

Qui est concerné par le RGAA ?


Le RGAA s’applique principalement aux services en ligne des organismes publics français, ce qui inclut les sites internet, intranet et extranet, les applications mobiles et le mobilier urbain numérique. Il vise à rendre ces services accessibles à toutes les personnes, y compris celles en situation de handicap.

Quels sont les 2 référentiels à suivre Niveau accessibilité des sites web ?


Les deux référentiels clés pour l’accessibilité des sites web sont le RGAA, qui aligne la France sur les WCAG 2.0, et l’UWEM, une méthode européenne pour évaluer la conformité aux WCAG 1.0.

Quelles sont les règles de l’accessibilité numérique ?


1) Facilitez la navigation sur votre site, 2) Utilisez une police lisible et ajustez la taille du texte, 3) Fournissez des textes alternatifs pour les images, 4) Incluez des sous-titres et transcriptions pour les contenus audiovisuels, 5) Privilégiez un design épuré et accessible.

Illustration de deux personnes devant des statistiques liées au numérique responsable.

Le Numérique Responsable : définition d’un concept d’avenir

La transformation numérique intense des dernières décennies met en lumière divers changements environnementaux, comme la consommation énergétique, l’épuisement des minerais et métaux, ainsi que les émissions de CO2. Alors, pour améliorer l’empreinte écologique du numérique, sans oublier les aspects sociaux et économiques des TIC (technologies de l’information et de la communication), le numérique responsable s’impose.

Le numérique responsable, c’est quoi ?

Le numérique responsable, également connu sous le terme anglais de Green IT, constitue un ensemble de pratiques visant à minimiser l’empreinte environnementale des technologies de l’information et de la communication (TIC). Cet objectif vise à permettre une utilisation continue des outils numériques tout en réduisant leur impact carbone, grâce à une approche plus réfléchie et moins consommatrice d’énergie.

Dans le cadre du numérique responsable, une multitude de solutions sont envisagées pour atténuer quotidiennement l’impact environnemental de l’industrie numérique.

Quel est l’impact des équipements numériques sur la planète ?

Illustration de l'impact des équipements numérique sur la planète avec deux ordinateurs cassés.

Lorsque nous utilisons le cloud, que nous envoyons des mails, ou encore que nous regardons un film en streaming, nous avons le sentiment d’utiliser un service virtuel qui n’a donc aucun impact sur l’environnement. Pourtant, au niveau mondial, le numérique représente plus de 4 % des émissions de gaz à effet de serre. Et si nous n’agissons pas en faveur d’une utilisation du numérique plus responsable, ce chiffre pourrait bien doubler d’ici 2025.

Alors, si le numérique est parfois un allié de la transition écologique, qui limite certaines habitudes polluantes, il s’avère aussi être un danger, car les ressources physiques nécessaires au bon fonctionnement des TIC sont énormes. De la fabrication à l’utilisation, de l’extraction des minerais à la consommation d’énergie fossile, l’utilisation de nos ordinateurs et autres smartphones a un impact sur notre planète, et notamment sur le réchauffement climatique.

Les axes de stratégie du numérique responsable

Le numérique responsable est alors un vaste concept aux grandes ambitions, qui s’articule autour de 5 grands axes stratégiques.

Optimiser l’outil numérique pour limiter son impact et sa consommation

Le premier axe du numérique responsable concerne directement les équipements numériques et leur utilisation. Le but est alors de prendre des mesures pour réduire leur impact sur l’environnement, que ce soit en les optimisant ou en limitant leur consommation.

La réflexion et les actions peuvent alors porter sur différents points :

  • Prolonger la durée de vie de l’outil, en évitant de changer tous les 6 mois pour un modèle plus performant alors que le premier fonctionne encore ;

  • Avoir une conception plus responsable et penser au recyclage ;

  • Prendre en compte le cycle de vie de l’équipement numérique ;

  • Favoriser le réemploi, notamment avec le reconditionnement, la réparation ou la seconde main ;

  • Privilégier les énergies renouvelables, quand cela est possible.

Offrir des services numériques accessibles à tous

La sobriété numérique passe également par une remise en question et des gestes simples. Si l’objectif est de pouvoir rendre le numérique accessible à tous, il est aussi essentiel que chacun en adopte une utilisation raisonnée. Nous pouvons alors utiliser la règle des 3 U :

Illustration du numérique accessible à tous avec un téléphone et une femme en fauteuil roulant devant.
  • U pour Utile : est-ce qu’il est utile d’avoir le dernier smartphone ? Les fonctionnalités vous seront-elles vraiment indispensables ? Répondent-elles à un vrai besoin, ou à un confort ?

  • U pour Utilisée : est-ce que vous allez utiliser la fonctionnalité régulièrement ?

Pour illustrer cette règle, on voit souvent des entreprises proposer des fonctionnalités sur leur site Internet qui ne sont ni très utiles, ni très pratiques. Soit parce qu’il existe une alternative plus ancienne qui fait toujours ses preuves, soit parce que l’interface n’a pas été optimisée, ou encore parce que les utilisateurs n’en ont pas vraiment besoin.

Mettre en place un numérique éthique et responsable

Bien sûr, le numérique responsable vise aussi à inciter les entreprises à opter pour une manière plus responsable et éthique d’aborder les technologies du numérique.

En agissant ainsi, les professionnels s’engagent à :

  • Respecter les réglementations en vigueur, notamment avec la loi REEN qui vise à réduire l’empreinte environnementale du numérique en France ;

  • Mettre en place une politique en faveur de la convergence des transitions écologiques et numériques ;

  • Se questionner sur les bonnes pratiques à adopter, et celles qu’il faut abandonner.

Par ailleurs, les actions en faveur du numérique responsable s’intègrent complètement dans la démarche RSE des entreprises (Responsabilité sociétale des entreprises).

Assurer la résilience des organisations et innover

En agissant pour la sobriété énergétique de l’activité numérique, les entreprises respectent les normes, mais elles entrent aussi dans une démarche collaborative et d’innovation très intéressante pour la compétitivité de la société.

Les professionnels apprennent alors à adapter leur comportement et leur consommation, en utilisant le numérique responsable comme une source d’innovation. En effet, après avoir pris la mesure des impacts environnementaux de leur utilisation du numérique, ils sont amenés à trouver des solutions pour les réduire, et donc à imaginer de nouveaux process.

En interne, cela fait réfléchir, mais à l’échelle de l’entreprise, cela peut aussi permettre d’innover de nouveaux services et produits plus responsables qui se démarquent de la concurrence.

Permettre l’émergence de nouveaux comportements et un engagement

Illustration de 3 personnes qui prennent consciences des enjeux  environnementaux devant une planète et une plante dans la main.

Avant de s’engager dans une démarche de sobriété énergétique, il faut prendre conscience de la situation actuelle. Le bilan carbone d’une entreprise, ou la participation à la Fresque du Numérique ou à une Fresque du Climat peuvent alors, par exemple, être des leviers intéressants pour impliquer tous les collaborateurs dans une démarche plus responsable. Tout le monde prend alors conscience de l’impact de chaque petit geste et se sent concerné par le projet.

Le numérique responsable valorise alors les initiatives internes, et permet de motiver les collaborateurs à s’engager. Et qui dit motivation, dit généralement performance.

Les concepts du numérique responsable

Pour prendre en considération la totalité de l’écosystème du numérique responsable, l’institut du numérique responsable (INR) a défini 4 grands axes.

Green for IT

Le Green for IT concerne la réduction de l’impact environnemental en évitant l’achat et en réduisant l’extraction des minéraux. On parle alors des 5 R pour réduire les déchets : refuser, réduire, réutiliser, recycler et réparer.

Human for IT

L’objectif du Human for IT est de réduire l’empreinte économique, écologique et sociale des modes de vie grâce au numérique, comme intégrer dans les marchés publics des clauses sociales, des critères d’attribution, et le respect du droit du travail, des salariés et des fournisseurs.

Cela permet d’avoir une réflexion profonde sur les conditions de travail, les impacts du numérique, les impacts sociaux, la gestion des déchets…

L’ADEME donne pour cela plein de bonnes pratiques à adopter.

IT for green

L’IT for green vise à réduire l’empreinte grâce au numérique, et de développer les actions à impact positif. Par exemple, le numérique permet le télétravail, qui évite des déplacements, limite les émissions de gaz à effet de serre des véhicules polluants, réduit l’empreinte environnementale du secteur du travail…

Rappelons quand même que le télétravail a aussi des impacts négatifs, comme l’obligation d’achat de matériels numériques ou l’utilisation de la visioconférence, très coûteuse en énergie.

IT for human

L’IT for human a pour but de réduire l’impact social d’autres activités par le biais du numérique, comme créer des emplois dans le secteur d’activité du numérique.

Sur cette partie, on va améliorer les conditions sociales d’un processus, permettre l’accès à l’information, aider sur la partie santé et créer des emplois, notamment sur la partie reconditionnement du matériel.

Le label Numérique Responsable est un engagement fort en faveur du développement durable pour lequel s’est engagé Lemon Interactive. Notre agence web se tourne ainsi vers l’avenir, en proposant un numérique plus durable, tout en offrant des services performants d’éco-conception web.

Qu’est-ce que c’est le label numérique responsable ?

Comment définir le numérique responsable ?


Le numérique responsable se définit par une utilisation des technologies numériques consciente de leur impact environnemental et social. Cela inclut de choisir et de concevoir des équipements et des applications éco-efficients, ainsi que d’adopter des pratiques qui réduisent l’empreinte écologique du numérique.

Comment faire du numérique responsable ?

Pour un numérique responsable, adoptez des pratiques écoresponsables : optimisez l’utilisation de vos appareils, préférez des fournisseurs éco-conçus et engagez-vous dans le recyclage des équipements. Sensibilisez autour de vous à l’importance de réduire l’impact environnemental du numérique et privilégiez une consommation digitale consciente.

Quels sont les piliers du numérique Responsable ?


Les trois piliers du numérique responsable sont essentiels pour une approche équilibrée : « People » pour centrer sur l’humain, « Planet » pour protéger l’environnement et « Profit » pour renforcer la performance économique. Ils guident vers une technologie respectueuse des individus et de la planète tout en restant économiquement viable.

Pourquoi Faut-il se former au numérique responsable et à l’éco-conception ?


Il est essentiel de se former au numérique responsable et à l’éco-conception car cela permet de développer des solutions qui réduisent l’empreinte écologique des technologies digitales. En maîtrisant les pratiques durables, on contribue à une innovation plus verte, minimisant la consommation énergétique et les déchets électroniques.