Illustration de 3 personnes autour d'un smartphone avec une page sur le sujet du Digital Market Act.

Digital Market Act : définition et solutions pour s’y préparer

Le monopole des grandes plateformes soulève des interrogations quant à leur régulation. Pour y répondre, l’Union européenne a voté le Digital Market Act (ou DMA), un ensemble de normes destinées à favoriser une concurrence loyale et équilibrée. Promettant une métamorphose du numérique, les premiers changements vont arriver en ce début mars 2024 et peuvent impacter votre SEO. Détaillons-les dans cet article dédié, pour mieux nous y préparer.

Digital Market Act : qu’est ce que c’est ?

Le Digital Market Act, mieux connu sous l’acronyme DMA, constitue une réglementation importante sur les activités des géants du numérique. L’objectif de ces nouvelles règles vise à réguler les pratiques d’entreprises du numérique à l’influence considérable, comme les GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft), de manière à laisser émerger des entités concurrentes.

Quand prend effet le DMA ?

Le DMA est un règlement entré en vigueur le 2 mai 2023, après avoir été publié au journal officiel de l’UE le 12 octobre 2022. Cependant, le délai de mise en conformité des entreprises est prévu jusqu’au 6 mars 2024.

Quelles sont les sanctions en cas de non-respect du Digital Market Act ?

Illustration de 2 personnes autour d'une sanctions financière du Digital Market act.

L’absence de conformité avec ces termes de celui-ci peut résulter en une sanction pouvant atteindre 10% du chiffre d’affaires des entreprises fautives. En cas de récidive, ce pourcentage peut augmenter jusqu’à 20%. On peut également appliquer des mesures restrictives, par exemple, interdire à ces entreprises d’acquérir d’autres entreprises pendant un certain délai.

Visant à contrôler l’auto-promotion des produits et services par les géants du web, le DMA marque la volonté de stopper leur domination sur le marché. Il restreint également la collecte et l’utilisation de données provenant d’entreprises tierces. Forçant ainsi les services de messagerie tels que Facebook Messenger ou Whatsapp, à rendre compatible leurs services avec ceux de concurrents plus modestes.

Qui est concerné par le déploiement du DMA ?

Son déploiement a des implications de grande envergure, concernant non seulement les grandes plateformes numériques, mais aussi les utilisateurs et les entreprises qui utilisent ces plateformes.

Les grandes entreprises et géants du numérique

Le déploiement concerne directement les grandes plateformes, en particulier les GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon, et Microsoft). Par exemple, Apple a récemment décidé d’adopter le protocole RCS, une technologie concurrente de son propre service de messagerie iMessage, en réponse au débat autour du DMA.

Le but de cette transgression stratégique est de démontrer à l’Union européenne qu’Apple est prêt à fournir plus d’interopérabilité, en espérant éviter qu’iMessage soit inclus dans le champ d’application du DMA. Ce changement illustre comment son déploiement peut influencer les décisions stratégiques des géants de la technologie.

Les utilisateurs

Qu’ils soient des particuliers ou des professionnels, les utilisateurs vont aussi voir leur expérience modifiée.

En reprenant l’exemple de la technologie RCS (Rich Communication Services), Apple va rendre iMessage compatible avec les smartphones Android. Un changement qui a le potentiel de changer de manière significative l’expérience de millions d’utilisateurs à travers le monde.

Les consommateurs, en tant qu’utilisateurs finaux des services numériques, bénéficieront donc d’une plus grande transparence et d’une meilleure protection de leurs données.

Les entreprises et développeurs

Le DMA force les plateformes numériques à créer des conditions plus équitables pour tous les acteurs du marché, ce qui pourrait avoir un impact significatif sur l’économie numérique en offrant plus d’opportunités aux start-ups, petites et moyennes entreprises qui seront soumises à un environnement concurrentiel plus équilibré et bénéficieront de nouvelles opportunités d’affaires. 

Le déploiement du Digital Market Act, vise à mettre en place une réglementation équitable et transparente pour tous les acteurs du marché numérique, ayant inévitablement un impact important sur ceux-ci.

L’objectif principal est de garantir que les utilisateurs, les entreprises et les développeurs bénéficient d’une concurrence loyale dans le secteur numérique jugé insuffisamment concurrentiel.

Quel impact pour le référencement naturel (SEO)

Aujourd’hui, lorsqu’on parle des GAFAM dans le monde, on les considèrent souvent comme des “gatekeepers”, des “gardiens” qui gèrent seuls le numérique. On peut aussi nommer ces entités “Very Large Online Platforms” (VLOPS ou très grandes plateformes en ligne). Indirectement, le Digital Market Act présente des implications particulières pour le SEO.

Transparence et équité : Priorités pour le SEO

Quand on pense au DMA, c’est la transparence et l’équité qui viennent à l’esprit en premier. Inévitablement, cela pourrait donner lieu à un bouleversement de l’architecture de l’indexation et de la hiérarchisation des contenus sur les moteurs de recherches, avec une moindre priorité accordée aux services appartenant directement aux VLOPS. Du point de vue du SEO, cela pourrait entraîner des variations intéressantes pour les acteurs qui n’ont pas leur taille, ouvrant potentiellement plus d’opportunités pour un meilleur classement dans les résultats de recherche.

Il est aussi fort probable qu’il entraîne des modifications dans les critères d’indexation en interférant directement ou indirectement avec les algorithmes des moteurs de recherches. Des adaptations seront donc nécessaires pour de nombreux experts SEO afin de s’aligner sur ces directives et continuer à favoriser un bon positionnement sur les plateformes concernées.

Une plus grande visibilité pour les plateformes concurrentes

Illustration de 3 personnes sur un écran d'ordinateur zoomant sur l'augmentation de la visibilité grâce au Digital Market Act.

Les exigences de transparence et de non-discrimination pourraient changer de manière significative les stratégies d’investissement SEO mises en place, en particulier en ce qui concerne l’optimisation pour les recherches vocales et l’intégration naturelle des mots-clés.

Dans ce contexte, Google a introduit une nouvelle section dans ses résultats de recherches connue sous le nom de « Sites de lieux ». Cette section est un carrousel de liens vers des sites d’annuaire et des comparateurs différents de ce que Google lui-même propose.

Grâce à cette nouvelle présentation, il cherche à se conformer au DMA en accordant plus de visibilité à ces services. La disparition proposée de certaines fonctionnalités spécifiques à Google, comme « Google Flights », devrait étendre cette visibilité à d’autres services concurrents.

Des avis clients plus diversifiés

L’une des modifications les plus notables concerne la présentation des avis clients sur Google. Pour se conformer au DMA, Google ne limite plus les avis à ceux de sa propre plateforme et prend désormais en compte des avis provenant d’autres plateformes.

Cela signifie que lorsqu’un utilisateur effectue une recherche pour consulter des avis concernant une entreprise, il a désormais accès à des avis collectés depuis des sites tiers. La présentation et le classement du contenu en SEO pourraient subir des impacts.

Changement sur la Search Generative Experience (SGE) de Google

Google a introduit une interface basée sur l’intelligence artificielle appelée Search Generative Experience (SGE). Cette interface devrait offrir aux utilisateurs des résultats de recherche plus diversifiés et potentiellement plus pertinents.

La SGE n’est pas encore disponible partout, mais les premiers tests montrent qu’elle pourrait donner plus de place aux résultats de recherche locaux. Les changements pourraient mettre en avant un plus grand nombre d’entreprises dans les recherches Google, apportant ainsi une nouvelle dimension au SEO.

Le DMA signifie-t-il la fin des services Google Maps, My Business ?

Le Digital Market Act alimente bien des discussions quant à l’avenir de certains services Google, tels que Maps et My Business. L’interrogation majeure est de savoir si l’adoption de ce règlement pourrait sonner le glas de certains services.

Perturbation des services Google : un scénario plausible ?

Illustration de 2 personnes autour d'un plan montrant des modifications stratégiques réalisés à cause du Digital Market Act.

Dans le cadre spécifique des services Google Maps et My Business, la mise en application du DMA pourrait entraîner une redéfinition de leur modèle économique et de leur orientation stratégique.

Devant ces nouvelles règles, certains observateurs prédisent un impact conséquent sur les services Google. Cela pourrait entraîner, dans le pire des cas, la disparition de certains services gratuits comme Maps et My Business.

L’optimisation extensive de ces services pour répondre aux impératifs de l’algorithme de Google a en effet contribué à leur domination sur le marché. Or, le DMA cherche à rétablir une équité entre ces grandes entreprises et les concurrents plus petits, ce qui pourrait impacter le modèle de fonctionnement de ces services.

Les conséquences du DMA pour Google Maps et My Business

Si on appliquait les règles du DMA de manière stricte, cela pourrait, dans le pire des scénarios, mener à la disparition de Maps et Google Business Profile. A minima, cela risque de leur faire perdre grandement en intérêt.

Si cela se confirmait, les utilisateurs perdraient un service de localisation précis, et les entreprises perdraient un outil précieux pour attirer la clientèle locale.

Toutefois, rien n’est encore acté et il est probable que Google s’adapte aux nouvelles dispositions pour continuer à offrir ces services, même si leur fonctionnement pourrait être revu.

Il est donc crucial de suivre attentivement les développements du DMA pour comprendre son impact sur les services Google. Même s’il est difficile de prédire précisément ce qui va arriver, il est certain que le DMA va introduire de profonds changements dans l’écosystème numérique.

Comment Google s’adapte au DMA ?

Google a annoncé travailler activement pour s’adapter aux exigences du DMA. En effet, à partir de la mise en place du Digital Market Act, Google a engagé une multitude d’innovations qui lui permettront de demeurer un canal d’acquisition et de conversion majeur, tout en respectant la nouvelle réglementation.

Parmi celles-ci, Google a annoncé des tests en bêta de nouvelles fonctionnalités et modifications conçues pour respecter les nouvelles réglementations.

Quelques-unes de ces identifiées lors d’interventions d’experts sur le sujet comprennent une bannière de consentement supplémentaire pour demander à l’utilisateur s’il souhaite toujours que leurs informations soient partagées entre les différents services Google.

En parallèle, Google a promis d’apporter des améliorations aux résultats de recherche pour aider à affiner les requêtes de l’utilisateur.

Anticipation pour une conformité optimale

Malgré les incertitudes concernant le plein impact du DMA, il est clair que Google vise à renforcer sa visibilité et à préserver son statut de leader dans le secteur. Il est probable que les changements incluront l’amélioration de l’expérience de recherche, une fois les nouvelles réglementations en vigueur.

D’une part, Google travaille à assurer la continuation de la pertinence des recherches en mettant l’accent sur l’UGC (User Generated Content) et les données locales fournies par les propriétaires d’établissements. D’autre part, avec le lancement de Search Generative Experience, sa nouvelle expérience de recherche, Google semble avoir une vision claire de la manière dont elle compte s’adapter au nouveau champ régulatoire imposé par le DMA.

Digital Market Act : bonnes pratiques et opportunités à saisir

Comment les entreprises peuvent s’adapter à cette nouvelle réglementation en développant de bonnes pratiques et en saisissant les opportunités qui émergent ?

Les bonnes pratiques pouvant être mise en place

La première bonne pratique à adopter est de diversifier sa présence en ligne. En effet, si Google est un point de départ essentiel, il ne faut pas négliger d’autres canaux comme Apple Maps, Facebook ou Waze. Autrement dit, avec le DMA, une présence en ligne variée est essentielle pour garantir une visibilité optimale.

Une autre pratique à considérer est la mise en place de pages web locales. Quand on gère bien ces pages et qu’on les met constamment à jour, elles peuvent stimuler le trafic et avoir un impact positif sur un site web au-delà des algorithmes de Google.

Le DMA offre plus de transparence, permettant aux entreprises d’accéder aux données générées par leur présence sur des plateformes telles que Google, Amazon ou Facebook. Cela peut donc conduire à des insights précieux sur la performance de leurs services ou produits et sur les préférences des clients.

Le Digital Market Act arrive, et il apporte de nombreux changements pour tous les acteurs présents sur internet. Le numérique continue d’évoluer continuellement, ces nouvelles réglementations nécessitent de rester toujours à jour. Une mise à niveau toujours garantie par un accompagnement d’agence web, comme nos équipes de Lemon Interactive.

Compendre le Digital Market Act en 3 questions

Pourquoi le Digital Market Act ?


Le Digital Markets Act a pour objectif de créer un marché numérique plus équitable et ouvert. Il vise à réguler les pratiques des grandes plateformes en ligne, appelées « gatekeepers », pour empêcher qu’elles ne profitent de leur position dominante. Ainsi, cela favorise la concurrence et protège les consommateurs dans l’UE.

Qu’est-ce qu’un gatekeeper DMA ?


Un « gatekeeper » dans le cadre du DMA (Digital Markets Act) est une grande entreprise numérique qui opère une plateforme de service essentielle. Elle est donc caractérisée par un impact majeur sur le marché intérieur de l’UE, un pouvoir d’intermédiation considérable et une position durable sur le marché.

Qui est concerné par la DMA ?

La DMA, ou Digital Markets Act, concerne principalement six grandes entreprises du numérique : Google (avec des produits comme Google Search, Android, Maps), Amazon, Apple, Bytedance (TikTok), Meta (Facebook, Instagram, WhatsApp) et Microsoft. Ces acteurs sont désignés par la Commission européenne pour réguler la concurrence.

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TPE/PME : Comment se démarquer de la concurrence ?

Présence en ligne : démarquez-vous de vos concurrents

Peu importe les secteurs d’activité, les TPE et PME mènent souvent de féroces batailles contre leurs concurrents. Là où les grandes entreprises peuvent se démarquer avec des publicités presse ou télévisées à l’aide de leur grand budget. Les TPE ou PME souffrent de moins de moyens… enfin, c’était avant l’émergence du web qui permet désormais de développer facilement de véritables leviers pour se démarquer de ses concurrents grâce au web.

Mais comment les PME et TPE peuvent-elles se différencier de leurs concurrents en exploitant un maximum le web ? Nous allons voir quelques aspects essentiels pour une présence en ligne réussie.

Avoir un site web (vitrine, e-business, e-commerce…)

Le site web est désormais un must have. Il est essentiel d’avoir un site web pour votre entreprise. Désormais les prospects et les clients utilisent systématiquement Internet dans leur parcours d’achat. Ils s’attendent à ce que vous y soyez aussi. Plus de 60% des Français utilisent Internet dans le processus d’achat (pour se renseigner ou pour acheter).

En effet, un prospect qui ne vous trouve pas sur Internet, c’est un prospect qui pourrait être potentiellement capté par vos concurrents.

Il est d’ailleurs la pierre angulaire sur laquelle vont se poser tous les autres éléments de votre présence en ligne.

Mettre à jour le NAP : Name, Adress, Phone

Beaucoup d’entreprises négligent ces informations : soit elles ne sont pas présentes sur ces plateformes, soit les informations ne sont pas à jour. Dans les deux cas, cela peut créer une véritable frustration pouvant, dans le pire des cas, provoquer l’abandon du prospect. En effet, soit l’internaute ne trouve pas les informations qu’il recherche, soit il ne trouve pas les bonnes informations. Dans un cas comme dans l’autre, le prospect ira vraisemblablement ailleurs.

Pour remédier à cela, pensez à vous inscrire et à mettre à jour vos informations sur les nombreuses plateformes existantes comme Google My Business qui vous permet d’avoir un encart gratuit quand les internautes vous recherchent. Il existe également Pages Jaunes et les annuaires spécialisés en fonction du secteur d’activité (Tripadvisor pour les restaurants et les hôtels par exemple).

Profitez aussi de tous les avantages que proposent ces plateformes. Il est notamment possible de créer des promotions et des événements sur votre fiche Google My Business afin de mettre en évidence à court terme des offres spéciales pour vos clients lorsqu’ils vous recherchent.

Faire de la publicité en ligne

Pour les TPE/PME, il existe deux obstacles pour faire de la publicité traditionnelle (radio, télévision, print…) D’abord, cela coûte bien trop chère et il est peu évident d’avoir un total contrôle de son budget. Ensuite, ce type de publicités ne permet pas de mesurer précisément les résultats (nombre d’impressions, nombre de vues…)

En revanche, la publicité digitale peut pallier ces deux problèmes. Il est non seulement possible de mesurer avec précision de nombreux KPI (Key Performance Indicators) comme le taux de clics sur les publicités ou le coût par conversion ; mais il est aussi possible d’avoir un contrôle total de son budget et d’y investir des sommes raisonnables en ayant de bons résultats.

Sur Internet, tout est mesurable

Quels que soient vos objectifs (notoriété, ventes…), les nombreux formats et variétés de publicité en ligne peuvent être la solution idéale pour mettre en avant vos produits et services. Bannières, annonces textuelles ou shopping sur les moteurs de recherche ou publicités vidéo sur YouTube, vous trouverez forcément le format qui soit en accord avec votre stratégie et vos objectifs.

Exemples des principaux KPI qu’il est possible d’obtenir sur la régie publicitaire de Google

Pour la publicité en ligne, on passera par des régies publicitaires qui se chargeront de diffuser les annonces en fonction des critères et du budget que vous avez définis. La plus utilisée est Google AdWords qui permet, entre autres, de diffuser des annonces textuelles sur Google, des bannières sur des sites partenaires ou encore des annonces shopping.

Mettre en place une stratégie digitale

Si vous possédez déjà un site web, que vous mettez régulièrement à jour vos informations sur Internet et que vous faites de la publicité en ligne, il s’agit là d’un bon début pour vous démarquer de vos concurrents grâce au web.

Force est de constater que cela ne peut suffire. En effet, il est nécessaire de réfléchir et concevoir une stratégie à long terme qui permettra de développer une communication et des actions cohérentes vous permettant d’être plus efficace. Cette stratégie pourrait inclure une stratégie de référencement et une optimisation de l’expérience utilisateur en fonction de vos besoins.

Une stratégie digitale vous permettra de faire émerger votre valeur ajoutée en ligne. Pour se faire, vous pouvez soit vous former au digital soit confier votre projet à des professionnels.

Pensez également à la stratégie de contenus que nous avons déjà abordée dans de précédents articles qui pourrait être redoutablement efficace.

Restez « User Centric »

Sur tous les leviers, il est nécessaire de rester concentrer sur l’utilisateur. Il faut que vous vous adaptiez à lui en parlant son langage et en lui proposant des produits qui correspondent à ses besoins.

Chez Lemon Interactive, nous vous accompagnons sur tous les aspects de votre présence en ligne :

Notre vocation ? Faire émerger la valeur ajoutée de nos clients sur le web !

Discutons ensemble de votre projet et collaborons pour sa réussite !

Agence web ou freelance : à qui confier son projet ?

Agence web vs. Freelance

Lorsqu’elle décide de faire réaliser un projet web en externe, une entreprise doit ensuite choisir à quel type de prestataire elle veut confier ce projet. Bien qu’on puisse distinguer plusieurs types d’agences, on oppose généralement les agences web aux prestataires freelances.

Pour vous aider dans votre choix, nous avons rassemblé des éléments qui vous permettront de prendre la meilleure décision ! Quelles différences existe-t-il entre agences web et freelances ?

D’abord, c’est quoi un freelance ?

Le freelance est un indépendant qui travaille en tant qu’auto-entrepreneur. Il travaille donc seul la plupart du temps, et intervient sur les projets de plusieurs clients. Il vient parfois en renfort sur les projets de grands comptes, mais il peut aussi travailler pour le compte d’un seul et unique client.

Chaque freelance possède généralement son propre domaine de compétence. Ainsi il existe des freelances spécialisés dans le web design tandis que d’autres sont spécialisés dans la conception de site web sur une plateforme particulière telle que WordPress par exemple.

C’est un phénomène qui se développe de plus en plus pour de multiples raisons : la baisse de popularité du salariat, le besoin d’indépendance et d’autonomie, le besoin de flexibilité…

Et une agence web ?

L’agence web est une entreprise à part entière qui emploie des salariés. Elle constitue donc généralement une équipe polyvalente dans plusieurs domaines puisqu’elle fait en sorte de rassembler des profils différents et complémentaires au sein de son équipe.

L’agence web est généralement experte dans la création, la réflexion et la mise en place de stratégies, d’actions et d’optimisations sur tous les leviers du web (développement, publicité, référencement, design, webmarketing…).

Ces différents experts et leur polyvalence leur permettent de travailler sur des projets conséquents avec des spécificités techniques et fonctionnelles. De manière générale, l’équipe d’une agence web est capable de s’adapter aux demandes et aux besoins précis de son client, de lui conseiller la meilleure solution à adopter et de la mettre en œuvre.

Que choisir entre freelances et agences web ?

Pour vous aider dans votre prise de décision, nous avons glané les principaux avantages de chaque type de prestataire. L’un n’est pas nécessairement meilleur que l’autre. Tout dépendra de vos besoins et de la manière dont vous souhaitez collaborer avec le prestataire en charge de votre présence en ligne.

√Avantages du freelance

Le principal avantage du freelance reste son coût. En effet, le fait qu’il travaille seul et qu’il ait très peu de charges peut se répercuter sur son prix. Il est généralement moins cher pour une prestation, en revanche, il dispose moins souvent d’outils puissants et précis (SeeURank, SEM Rush…) qui nécessitent généralement une licence d’utilisation.

L’autre avantage du freelance se caractérise par son agilité. Puisqu’il est généralement le seul intervenant au sein d’un projet web (avec le client), il est bien plus flexible. Cependant, s’il a d’autres clients, sa flexibilité peut être entravée car il pourrait avoir d’autres obligations.

Enfin, le dernier avantage de faire appel à un freelance est que cela présente des contraintes administratives moins importante. et il est donc facile de lui confier de petits projets. C’est pour cette raison qu’il sera un prestataire privilégié pour des projets à court terme.

√Avantages de l’agence web

De par la complémentarité et l’expertise de ses employés, une agence web peut fournir une prestation de qualité, rapide et efficace. En effet, elle possède généralement plusieurs experts sur un même projet, ce qui lui permet d’avancer plus rapidement.

Son équipe possède d’ailleurs une vision plus complète et transversale du projet et peut fournir une approche globale mêlant développement web, web marketing, expérience utilisateur, analyse de données… Pour une réflexion à 360° qui vise à mobiliser tous les outils du web afin de permettre à son client d’atteindre ses objectifs.

Une agence web permet aussi d’établir et d’entretenir une relation de confiance. En effet, la réputation d’une agence est fondamentale pour sa pérennité. C’est pourquoi elle a tout intérêt à se concentrer sur la satisfaction de son client. En outre, elle doit aussi être capable de répondre aux exigences de ces derniers.

Là où un freelance pourrait être bloqué sur des imprévus, une agence web regroupe des collaborateurs sélectionnés et expérimentés qui peuvent proposer des solutions innovantes pour résoudre tout type d’obstacle dans un projet web. Par ailleurs, l’agence web pose un cadre et les bases du projet : planning, budget…

Alors, à quel prestataire confier son projet web ?

En résumé, si vous souhaitez un interlocuteur unique, flexible et peu coûteux, alors le freelance pourrait vous convenir. En revanche, si vous désirez un partenaire pour le long terme, combinant plusieurs expertises et qui soit capable de vous conseiller sur la meilleure solution technique à adopter et sur une stratégie globale à mettre en place pour piloter, assurer et quantifier la réussite de votre projet, alors une agence web sera davantage adaptée.

En somme, tout dépend des exigences et des objectifs de votre projet de visibilité en ligne !

Vous souhaitez faire appel à une agence ? Contactez-nous !